@ Mon très cher Marc CHINAL,

Votre hostilité à mon égard déjà relevée dans mes posts du 31/10 8:56 et du 3/11 19:44 transparaît désormais à chacune de vos interventions.

Votre haine était perceptible dès vos premiers commentaires dans cette discussion. Ce qui est drôle avec des gens tels que vous, c’est qu’il vous est impossible de comprendre des notions de bon sens aussi simple et évidente que : « la haine ne détruit que ceux qui la nourrissent ». Et là je dois dire que vous me faîtes bien marrer, car la haine est en train de vous ronger à vitesse grand V.

« Réponse : oui, le cheval blanc d’Henri IV est effectivement blanc ».

Décidément, vous perdez tous vos moyens, vous devriez vous ressaisir un peu : vous n’êtes toujours pas capable de répondre clairement à une question aussi simple que : la violence psychologique est-elle oui ou non une violence ?

Pour un adepte de la science du simplisme, c’est assez cocasse comme situation.

 

« Et vous, quand est-ce que vous allez donner la définition des mots que vous utilisez ? Où commence la violence ? Rappel de votre « réponse » : [...] Utiliser les mots « cher Monsieur », lorsqu’on méprise l’autre, est-ce une forme de violence ? Avez-vous (selon vous) utilisé de la violence dans vos réponses ? »

P’tin ! [oups pardon, ça m’a échappé] Quel sac de nœud.

Où est la logique entre vos questions introduites par « Et vous... », ma réponse sur « où commence la violence » et votre autre questionnement commençant par « Utiliser les mots... » ???

Bon je vais répondre à vos questions dans leur ordre d’apparition et vous ferez le trie ensuite, hein ??? Vous vous y retrouverez probablement mieux que moi (quoique... j’en doute un peu). 

« Et vous, quand est-ce que vous allez donner la définition des mots que vous utilisez ? »

Bha... très simple ! (Attention à la poutre)

Suffit de lire mes articles où les liens auxquels ils se rapportent. Mais c’est vrai que vous n’aimez pas lire les liens que l’on vous communique sans toutefois être gêné par le fait d’en donner tout un tas auxquels il faut constamment se référer pour avoir la définition des mots que vous vous utilisez. Et vlan, v’là la poutre !

« Où commence la violence ? »

Déjà répondu ! (Attention à la poutre)

Est-ce une violence que de ne pas répondre ce que vous avez envie d’entendre ? Et vlan, v’là la poutre !

« Utiliser les mots « cher Monsieur », lorsqu’on méprise l’autre, est-ce une forme de violence ? »

Mépriser son contradicteur est effectivement une forme de violence. (Attention à la poutre)

Mais cette question ne peut en aucun cas me concerner moi puisque je ne vous ai jamais donné du « cher Monsieur ». Par contre, je vous ai souvent donné du « cher Marc CHINAL » et ce pour la première fois le 13/10 12:28 en réponse à votre « à ces chers défenseurs... » du 12/10 15:40. Et vlan, v’là la poutre !

Outre le fait que vous affabulez (c’est une constante chez les gens violents qui se permettent d’agresser autrui pour de prétendus « bons » prétextes), si seulement cette expression « cher Monsieur » que vous avez imaginé être dans ma bouche une marque de mépris, elle n’aurait fait que répondre à votre propre mépris Et vlan, v’là une autre poutre !

Mais qu’est-ce que le mépris, je vous le demande ??? Allez-vous répondre ??? Suspense !

« Avez-vous (selon vous) utilisé de la violence dans vos réponses ? »

ABSOLUMENT PAS ! (Attention à la poutre).

Je reconnais avoir fait usage d’une agressivité réactive en réponse à votre violence proactive. Autrement dit, j’ai fourni des réponses du berger à la bergère sans jamais témoigner de haine à votre encontre telle qu’elle est maintenant très clairement visible (lisible) dans chacune de vos interventions. Et vlan, v’là la poutre !

Mais pour comprendre ce genre de subtilité, encore faut-il connaître la différence entre agressivité et violence et les adjectifs proactif et réactif (pas sûr que vous puissiez les comprendre, même après une longue explication « verbeuse »).

« répondre comme vous le faite : <<<<<la violence psychologique est une violence qui prélude à tout autre type de violences (verbales, physiques et/ou létales, etc.)<<<<<< n’est pas du tout une réponse à « où commence la violence ». »

Ha bon ??? (Attention à la poutre)

Ma réponse ne vous convient pas, du coup elle vous fait violence ???

C’est pas mon problème.

Cette réponse est très précise et beaucoup plus claire que l’enfumage dont vous êtes coutumier avec des réponses telles que « oui, le cheval blanc d’Henri IV est effectivement blanc ». Et vlan, v’là la poutre !

Elle situe très exactement l’origine de toutes les violences, car sans violence psychologique, c’est plus de 90 % de la violence humaine qui serait éradiquée à la surface de la terre à l’exception des violences générés par des anomalies cérébrales interdisant à un individu de pouvoir correctement traiter les informations qui parviennent à son cerveau.

« Car lorsqu’un pédophile agresse un enfant, il a été statistiquement reconnu que la plupart des pédophiles ont eux-même été agressé. Et que ces agressions passées ont elle-mêmes d’autres sources... »

Qu’a à voir cette digression avec le sujet la violence ??? (Attention à la poutre)

Qu’un pédophile ait été lui-même agressé enfant et que cela soit statistiquement reconnu, c’est un fait indéniable. Qu’il soit pour autant strictement responsable de ses passages à l’actes en est un autre. Seriez-vous de ceux qui cherche à déresponsabiliser les pédophiles de leur crime ??? Et vlan, v’là la poutre !

« Mais ça ne répond toujours pas à la question : « où commence la violence à vos yeux ». »

Bhein SI ! (Attention à la poutre)

Et ce même si ma réponse vous emmerde, car même la pédophilie à pour base la violence psychologique préalablement au passage à l’acte. Avant d’être violentés, les pédophiles ont été « inces-tués », il en deviennent « inces-tueur ». Mais c’est un long processus très complexe (donc inaccessible à un théoricien du simplisme) qui peut parfois se prolonger sur plusieurs générations et dont seule la partie émergé de l’iceberg est visible. Et vlan, v’là la poutre !

« La morale non respectée est-elle une violence ? »

La « morale » est un terme trop général pour répondre par un simple oui ou non à cette question. (Attention à la poutre)

Par contre, une personne qui prêche pour une certaine morale et qui par derrière s’empresse de la transgresser peut-être considérée comme violente. Quelqu’un qui fait à autrui ce qu’il ne voudrait pas qu’il lui soit fait est violent. Un individu qui accuse son contradicteur de le mépriser tout en ayant lui-même et préalablement témoigné tout son mépris envers ce même contradicteur est un violent qui s’ignore. Et vlan, v’là la poutre !

« Une personne qui porte le voile est-elle violente ? Une personne qui réagit face à une personne voilée est-elle violente ? Où commence le viol de « violence » ? Hum ? »

Et ma choucroute, elle est où ma choucroute ???

« Gros malin verbeux. »

Merci du compliment, vous me flattez encore. Si ça vous fait plaisir, que grand bien vous en fasse, mais c’est inutile, chacun sait que tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute.

« Et sinon, votre définition des mots que vous utilisez : « perversion narcissique réifiée », on l’aura quand ? »

Comme vous êtes un grand fainéant plus prolixe en invectives qu’en raisonnements fructueux, la définition de la perversion narcissique : nous somme en train de l’écrire. Cependant, après plus d’un mois et demi, nous n’avons abordé qu’une toute petite particularité de cette problématique qui est la violence psychologique spécifique à ce type d’individu. Nous l’avons abordé, mais au rythme du simplisme dont vous êtes sujet, nous n’en avons pas encore terminé. Ce qui promet pour la suite.

Au plaisir de vous lire tant vous m’êtes agréable, mon très cher Marc CHINAL !