" Finalement, avec la meilleure volonté du monde, on finit toujours par
voir ce que l’on veut voir si une formalisation objective n’est pas
appliquée.«
C’est vrai. Néanmoins, en ne s’en tenant qu’à ce qui peut etre prouver scientifiquement on n’ira jamais très loin dans la connaissance de ce monde (je dis ce monde, car c’est le meme monde qu’on soit ici bas ou la haut (façon de parler évidemment il n’existe ni la haut ni ici bas)).
On est bien obligé de tenir compte de l’expérience empirique humaine, surtout lorsque celle ci se répète à l’identique ou presque.
»la haut« est la réalité : un monde ou les idées sont aussi matéralisés que les objets de notre monde physique, ou l’information est la structure meme. Il est tout à fait possible de saisir l’information venue de la haut et d’acquérir la connaissance de cette façon, le lien entre les 2 étant notre conscience. Vous voyez quelque chose, après libre à vous de l’interpréter : ce qui peut donner lieu à l’erreur, les religions monothéistes en sont la preuve, en revanche ce que vous avez perçu est vrai, et bien souvent l’interprétation est facile (ils se mettent à notre niveau)
»ici bas" est une illusion, non pas que ça n’existe pas, mais ça n’existe pas tel que vous le percevez, il vous manque 99% de l’information.
Pour vous donner un exemple indubitable : si l’on voyait vraiment la réalité, on se verrait baignant dans une soupe d’énergie sans pouvoir se rendre compte de la séparation entre notre corps et le reste de l’univers (séparation purement conventionnelle, qui n’existe pas dans la réalité). La science pourra aller à sa limite, tant qu’il manquera le principal elle restera bloquée, elle est obligée de s’allier à la perception extrasensorielle ou du moins d’étendre son champ d’action vers l’ésotérisme honi des scientifiques matérialistes, pour s’affranchir des limites de la mesure matérielle et explorer de nouvelles pistes
Dieu ne joue pas aux dés : d’un part, parce qu’ il n’existe pas (si on se réfère au Dieu de la bible), et d’autre part ce monde matériel étant mécanique (au meme titre qu’un jeu vidéo est mécanique, hormis le joueur qui, lui, pense), il était nécessaire d’y ajouter une certaine dose d’imprévue, d’imprévisible et donc de lier le système moteur à un système plus aléatoire, sinon ça serait resté à jamais une belle mécanique mais trop parfaite, incapable d’apporter le degré d’imperfection (ou de variabilité, l’imperfection n’étant pas un critère objectif) qui est absolument nécessaire pour que ce monde tourne tel qu’il doit tourner