Je vais tenté de répondre à tous les points, même si souvent répondu par mes billets (mais je ne les reprendrai pas pour la cause) :
« Nous pouvons bien croire en la liberté d’expression ce qui est d’abord un gros piège. Cela ne peux servir qu’une minorité de personnes aux métiers volatiles. »
Je dirais même spécialement aux personnes qui n’ont pas de métier prenant. Qui ont le temps de réfléchir. Il y a moins de dix ans, tu ne m’aurais jamais vu par ici. Pas le temps. Mon métier prenait et brûlait mes instants de loisirs. Oui, c’est un piège que de croire tout ce qu’on lit par ici.
On y prêche dans le désir et quelque part, c’est tant mieux. Je ne chercherai jamais à influencer quelqu’un par ce que je dis ou écris.
« en dehors des artifices virtuels.Mais reste-il ici des êtres normaux ? »
Je dois avoué que non. Les artifices de la virtualité permettent des choses que les convenances du réel ne permettent absolument pas. Est-ce dire que le virtuel est plus vrai, n’est pas loin.
« Notre différence est lié avec les animaux »
Je viens de regarder « Grandeur nature » sur FR2. Il est clair que nous avons inventé quelques petites choses qui nous écartent de la vie des animaux ; les concessions, nous espérons par la même que demain sera différent, généralement en mieux, qu’aujourd’hui. Le copain qui faisait partie de l’article, je le connais depuis longtemps. Il a des idées bien à lui. Nous habitons tous deux dans un pays où le compromis est de mise, sans tomber dans la compromission. Il n’a pas influencé mon jugement comme je l’ai écrit, je suis resté sur mes positions, mais j’avais éluder de donner les contre-poisons à mon pessimisme du moment, ce qui allait en opposition avec mon passé.
« Les réflexions du miroir n’ont pas de nègres ».
Et ce n’est pas récent. Dans ma vie active, j’ai fait du management de personnes. Cela veut dire qu’il faut garder une main de fer mais enrobé de velours. Il faut « choser » comme on disait et en effet, se retrouver devant un repas, ça aide toujours en dernier ressort.
« Le peuple est vraiment dans la merde. Je devrais ici faire le bonheur de toutes ces personnes qui s’évertuent à nous montrer les exemples historiques. »
A qui la faute ? Quand on n’a plus l’envie de casser la baraque, d’aller voir ailleurs si l’herbe n’est pas plus verte et qu’on se réfugie sur des faits du passé. Comment en sortie de cette merde ?
L’auteur de ce billet, je le connais virtuellement depuis longtemps et il connait mon opinion drastique pour résoudre toutes crises structurelles.