Dans le temps on avait un DIRECTEUR qui donnait une ligne de conduite et impulsait le dynamisme de ses subordonnés .
il avait ce poste suite à son savoir-faire et son expérience .
puis sont arrivés les MANAGERS (vachement plus moderne, non ?) qui ont mis en place des règles protocoles et procédures .
ils ont ces postes grace à leurs beaux, leurs magnifiques diplôôômes !
- l’initiative individuelle est devenue un immense défaut (motif de licenciement)
- le contrôle s’est développé
- l’ambiance de travail a sombré
alors deux conclusions s’imposent :
- un emploi de bureau étant mieux payé qu’un emploi de terrain (ouvrier, gendarme, infirmière)
ne serait il pas bon de faire valoir que ceux qui produisent font
avancer le société et que ceux qui sont coincées derrière leur ordi ne
sont qu’une forme de parasites ?
- Sachant que les meilleurs(?) diplômes sont détenus par des descendants de familles favorisées ne serait-ce pas le retour d’une logique féodale ?
Mais comment faire comprendre cela ?
- il y a des tâches de bureau indispensables : compta, paye, gestion commerciale, mais elles servent d’alibi pour les autres tâches inutiles
- il y a des ouvriers flemmards, ils servent d’alibi pour les bureaucrates qui pressurent toute les équipes !
une remise à plat s’impose, tant dans le secteur public que dans le secteur privé : mais qui osera ?