Gollum,
Je répète donc : les deux clés sont :
1 - l’affirmation de la confession « vraie » hors de laquelle il n’y a pas de salut.
2
- le dualisme latent entre Bien et Mal, présent aussi bien dans le
Christianisme que dans l’Islam, malgré son affirmation de l’Unicité
divine, qui devrait lui faire voir le problème sous un autre jour.
L’homme musulman de la rue a une peur bleue d’Iblis, comme le Chrétien a
peur de Satan.
L’Islam n’est pas le christianisme.
1- l’Islam enseigne :
« Il y a des prophètes dont Je vous ai parlé et des prophètes dont Je ne vous ai pas parlé »
« si J’avais voulu, J’aurais fait de vous une seule communauté »
De même la diversité des opinions est considérée comme une miséricorde divine.
Donc le point 1, on le met au débit du christianisme et pas à celui de l’Islam.
Le point deux idem : l’homme de la rue musulman a peur de Dieu, Seul.
Iblis ou shaitan ne sont que des crapules mais n’ont aucun pouvoir.
Quand au dualisme entre le bien et le mal, je vous renvoie à ce que disait Jung dans sa préface à réponse à Job. je m’en tiens là.
Il faut savoir que l’Islam ne traite pas du bien et du mal mais du licite et de l’Illicite, hallal et haram.
Le Bien et le Mal, renvoie à la relation personnelle de chacun face à Dieu et sans intermédiaire. Le hallal et le haram, traite de la loi, c’est à dire de ce qui est autorisé et de ce qui est interdit, mais le bien et le mal, c’est chacun face à Dieu.
Quand à l’enfer eternel, en Islam, après que DIeu t’es écartelé, ébouillanté, dépecé. t’avoir fait repoussé la peau pour à nouveau te dépecer, te rotir et de te jeter du haut de la falaise, écrabouillé et arraché les yeux, Il Peut, Si Il Veut parce qu’Il est Magnanime et Tout Puissant, te sortir de l’enfer pour faire de toi Ce qu’Il Veut.
non mais...