Tiens l’agent de propagande Cubain infiltré à la Sorbonne nous raconte encore la messe.
Et les femmes comme les hommes font la queue devant les échoppes étatiques ou l’on manque de tout et rien est approvisionné toute la journée
Et les femmes comme les hommes ont un salaire moyen de 10€ par mois.
Et les femmes comme les hommes ne peuvent se nourrir que grâce au marché noir la nourriture essentielle.
Et les femmes comme les hommes ne peuvent utiliser leur téléphone portable pour appeler l’étranger.
Et les femmes comme les hommes ne peuvent recevoir des informations différentes les radios du continent étant brouillées par l’état.
Et les femmes comme les hommes attendent des heures dans les administrations. Humiliées en permanence par des zozo de la nomenklatura bureaucratique Cubaine qui réclame son billet pour donner les documents indispensables.
Et les femmes comme les hommes attendent des heures entières dans les aéroports sans wifi à la recherche de toilettes toujours dégelasses.
Et les femmes comme les hommes qui avaient ouvert un petit commerce pour s’en sortir, sont obligés de fermer leurs échoppes libres au 1er janvier prochain (trapi-shopping). et perdre tous les fruits de leur travail.
Effectivement les femmes vivent dans une terre de rationnement, de geôles immondes et d’absence de toute liberté politique. Terre de pauvreté communiste dans laquelle elles se débattent face a une des dernières dictature communiste immonde.