Il y a quelque chose de l’ordre de l’amour en l’homme, un apparent libre arbitre et une envie de prendre soin de lui même et du monde...
Mais à notre époque, le monde des hommes est malade et il doit rendre petit homme malade, le corrompre, le conditionner, pour qu’il en vienne à manger de la viande du matin au soir !
Les mangeurs de viande se défendent toujours de leur comportement de la même manière...« c’est normal de manger de la viande »...Mais ils s’occultent à eux même, qu’ils mangent de la viande à outrance, presque à chaque repas, que ce n’est pas du tout nécessaire, bien au contraire, ils se bousillent la santé, mais ils le font parce qu’il y a non seulement un mécanisme de conditionnement en eux qu’ils n’osent admettre, mais aussi par pure « plaisir »...Autrement dis, les abattoirs turbine à plein régime parce que la plupart des hommes ont cette fantaisie de viande à tous les repas...
N’est ce pas cela qui est moche ?
Manger de la viande pourquoi pas...mais cette orgie qui oblige la mise en place d’infrastructure digne des enfers (rendement oblige), pour dépiauter du bestiaux est elle nécessaire ?
Et puis, n’est il pas temps d’apprendre à vivre plus simplement, dans une sobriété heureuse ?
D’avoir cette liberté de dire, « ça je peux mais ne veux pas », plutôt que « ça je veux mais ne peux pas » dans les étales de nos vies ?
Notre ère de sur consommation pourrait devenir un haut lieu d’apprentissage sur ce que l’humanité veut être au final, si nous réalisons que nous sommes grâce à notre cerveau les gardiens de ce monde et que notre plus grand plaisir et en réalité de se contenter et de veiller à l’équilibre des choses ?
Apprendre à apprécier et ne plus juger.