Feu de paille qui approche de la fin. On en arrive aux conclusions, déjà connus, que le populisme ne va pas très loin. Des discours violents aptes à fanatiser un militantisme proche de la lobotomie quand à sa cohérence avec les réalités quotidiennes des français.
Sacrés français. Que se fichent il de la « trahison de Pierre Laurent » face à sa « collaboration » avec le PS.
C’est dommage. Le front de gauche laissera en héritage une destabilisation inachevée du pouvoir et un tapis rouge pour la droite et l’extrême droite qui n’en demandaient pas tant. Surtout l’UMP, decridibilisé, ko, et qui se regale des critiques de monsieur Melenchon.
Evidement,, a ce moment là, les ultra gauchos rentrereront dans leurs coquilles jusq’aux prochaines elections. Conseilleur n’est pas payeur.
Le parti de gauche, un parti de fonctionnaires qui milite pour ses augmentations de salaires, et le degel de son point d’indice. Leurrant les ouvriers sur le fait que eux aussi auraient un salaire à 1700 euros minimum. Ce qui est faux, Car si l’augmenation des salaires pour les fonctionnaires est annoncé dans le programme, les ouvriers devront se contenter de 5% d’emplois précaires dans les entreprises et un grenelle de sensibilisation avec le patronat pour faire comprendre que ce serait « sympa » d’augmenter les salariés. Mouarph.
Un programme qui n’est jamais mis en avant et pour cause par les leaders d’opinions du courant car digne d’un roman de bibliotheque rose d’Henyd Blyton : « Plus d’efficacité que le PS » « plus d’humain » « prendre aux riches pour donner aux pauvres ». C’est à pleurer de rire devant la naiveté des propositions chiffrées face à l’extrême compétence du courant à faire des constats propre à demollir le pouvoir en place.
La seule trahison viens de Melenchon, aux ouvriers et aux salariés, à ses militants, dont il a gaché les espoirs légitimes d’un monde meilleurs de par leurs efforts. Laissons les se finir à s’autotraitriser et s’autoinsulter devant leur nuremberg municipales et européeens. Dans un an ou deux, on sera passé à autre chose.