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Commentaire de christophe nicolas

sur Cosmologie quantique, boucles ou cordes, la fin du monde moderne est-elle en vue


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christophe nicolas christophe nicolas 19 décembre 2013 21:36

Il y a beaucoup de choses, c’est chargé. Prenons un thème, ainsi les trous noirs ne peuvent que croitre et vont finir par consommer l’univers.... Ah bon... et comme l’univers est par définition unique et éternel et que le bigbang est une ânerie, il y a un problème

Evidemment, parce que dans l’échelle des âneries, on n’arrête pas le progrès. voyons cela par rapport à la théorie de l’intrication et par rapport à l’antigravité.

Vous vous souvenez des patineurs, pour tourner plus vite, ils resserrent les bras près du corps et un trou noir est très petit et tourne donc très vite. S’il tourne très vite, tous les moments magnétiques s’alignent ce qui a pour effet d’augmenter le poids des particules aux équateurs et d’annuler celui des particules aux pôles qui n’ont plus d’interactions et peuvent s’échapper du trou noir qui n’est pas un objet à gravitation uniforme. En plus, à très haute vitesse, ce n’est pas la masse des particules qui augmente mais les interactions qui diminuent alors les truc einsteiniens sont à prendre avec des pincettes dès lors qu’on y mêle l’antigravité.

On peut aussi imaginer que le cycle d’injection et d’éjection d’une particule est beaucoup plus court que le temps de propagation que la lumière met a nous parvenir. Dans ce cas, on aurait au centre de la galaxie un noyau très lumineux et le trou noir en question nous apparaitrait « noir » car sans interaction avec nous.

Bref, plein de choses à découvrir mais qui doivent être observées à différentes distances pour comprendre. Il faut donc voyager et constater sur place.

Conclusion : Inutile de dépenser des milliards dans des satellites d’observation, il vaut mieux les utiliser pour construire un centre d’essai antigravité, la croix glorieuse de Dozulé en l’occurrence.

Voyez vous, dans le faux, plus on travaille plus on s’enfonce et plus ça donne du travail et de la destruction.

Dans le vrai, tout se simplifie, le travail aliénant s’amenuise et la nature est préservée. C’est un peu le débat sur les épicycles de Ptolémée mais ce coup çi on ne pas se permettre d’attendre un siècle et demi.


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