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Commentaire de eau-du-robinet

sur Quand Jacubowicz cite Dieudonné


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eau-du-robinet eau-du-robinet 11 janvier 2014 21:51

Bonjour Massada,

Chacun doit balayer devant sa porte !

Voici le début d’une citation en provenance du site web

Le suicide de l’extrême-droite « sioniste »

Ce texte que j’ai rapidement traduit du blog de Charles Enderlin, me paraît poser le problème du véritable suicide que toute une population d’extrême-droite organise en Israël. Ce qui me frappe c’est la manière dont ces gens trouvent leur pendant dans la diaspora, en France en particulier où ils se nourrissent de tout un ressentiment des pieds-noirs d’Algérie… Ces gens fermés sur eux-mêmes, persuadés d’être les victimes potentielles des arabes, des Européens, de leurs propres coréligionaires semblent purement et simplement la proie d’une paranoïa assez parallèle à celle de l’extrême-droite qui sous couvert d’anti-sinionimse alimente le bon vieil antisémitisme et le blanchiment du nazisme. Le problème du paranoïaque est qu’il finit par créer les conditions pour vérifier la justesse de sa paranoïa… Ses haines raciales, la violence avec laquelle il divise le monde entre « nous » et les autres, les traîtres, trouve en lui-même sa propre justification… Il me paraît urgent de rassembler partout tous ceux qui n’acceptent pas de résumer le monde à leur vision paranoïaque mais cherchent la paix et une issue. (note de Danielle Bleitrach)

Pour un nombre croissant d’ Israéliens, dont beaucoup tiennent le gouvernail du pays, la définition la plus étroite de Sionisme – le sionisme comme nous et les anti-Sionistes comme eux – est devenu le seul usage approprié du terme. En Israël aujourd’hui, le Sionisme est un terme qui définit plus que jamais des frontières en train d’étrangler la liberté d’expression, la protestation et l’action.

La pratique ordinaire de la législation à la Knesset nécessite un serment d’allégeance à Israël « au caractère juif, » ou interdit une commémoration du récit palestinien de 1948 (la loi Nakba), ou qui contrôle de près l’activité de gauche et des ONG(des organisations non gouvernementales) des droits de l’homme. Ceux qui justifient la rhétorique de ce traitement législatif se baptisent eux-mêmes des Sionistes ; ils sont ceux qui revendiquent l’étiquette. En fait, un mouvement trés généreusement financé appelé « Im Tirzu » a mis précisément cette ligne comme leur ordre du jour – ils cherchent à produire ce qu’ils appellent « la deuxième révolution du Sionisme, » qui signifie dénoncer et imposer le silence sur n’importe quelle version de Sionisme qui n’est pas conforme à leur version.

Dans l’Israël contemporain, vous ne pouvez pas exprimer les valeurs de droits de l’homme, la tolérance, le pluralisme idéologique, ou critiquer l’occupation ou la militarisation de société israélienne. Si vous le faite, en tant que figures publiques, des membres de la knesset et des représentants gouvernementaux vous accuseront d’être ceux qui sapent l’existence d’Israël. L’attribut d’anti-Sioniste est jeté quand une figure publique de n’importe quelle couleur ou dénomination met en doute l’économie hégémonique de haine et de la crainte envers les Arabes, les Européens, les Démocrates, ou quelqu’un qui ne récite pas la litanie disant qu’Israël est la seule démocratie dans le Moyen-Orient. Le fait que beaucoup de Sionistes des origines se seraient fortement opposés à une définition si étroite importe peu à cette imposante foule quelque peu paranoïaque de Mc Carty juifs

source

— fin de citation —


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