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Commentaire de mortelune

sur Les limites du système éducatif …


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mortelune mortelune 18 janvier 2014 06:19

Que faire ? C’est bien le problème majeur auquel sont confrontés ceux qui ont en charge la classe.« 
Il ne faut pas être grand sorcier pour voir en elle le soucis de tous les ados face à la sexualité. Elle a le bon âge pour se poser des questions et qui peut lui répondre, qui peut la blâmer ? La société actuelle n’est pas sexualisée, non ! bien au contraire puisque les images ont remplacés les mots. »Le poids des mots le choc des photos" disait un journal ; comment être surpris de voir une gamine sous le choc dans un monde d’images et sans liberté d’expression de soi ? 
Le soucis qu’elle a est dans le franchissement des limites de ses fantasmes dans le monde réel (qu’elle devrait garder en elle comme nous les faisons tous). Elle n’est pas plus pervers qu’une autre ou qu’un autre, non ! Elle ne sais simplement pas contenir sa sexualité parce que tout le monde s’y oppose sans qu’elle comprenne pourquoi elle ne devrait pas le faire. En deux séances chez un bon psychologue est le problème sera résolu. Les bons profs sont de bons pédagogues mais en aucun cas ils sont psychologues, loin de là !... 

Punir ou vouloir le faire sous prétexte d’une évocation de sa sexualité ou de celles des autres est certainement la dernière chose à faire. Elle a besoin d’en parler ? Qu’elle en parle... Elle a besoin d’être entendu ? Qu’on l’écoute... Vous verrez que tout ira très bien. Ceux qui ne sont pas près pour écouter ni en parler peuvent sortir de la classe et si le prof trouve ça gênant qu’il sorte lui aussi. les ados savent très bien le faire ailleur que sur facebook. Il suffit juste de leur en donner l’occasion et c’est pas dans la famille que cela peut se faire. L’école me parait être un lieu tout à fait adapté alors pourquoi s’en priver ? Je vais vous dire pourquoi : les profs ont peur d’être jugés comme prédateurs sexuels, pédophiles, pervers et autres qualificatifs plus ou moins vrais et toujours difficiles à entendre. Ils ont peur, le monde à peur ! Cette jeune fille comprend-elle cette peur ? Je ne le pense pas. Finalement, c’est elle la moins déséquilibrer.
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