Commentaire de Henri Diacono
sur Grande Guerre : le scandale des exhumations militaires
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Alinéa j’ai hérité du prénom de l’un de mes oncles « explosé » dans les tranchées de cette première guerre mondiale. Son corps n’ayant jamais pu être « reconstitué », sa mémoire est inscrite sur une vieille plaque de Marbre portant les noms des français de Tunisie « morts pour la Patrie ». Au cimetière français de Carthage. Le Henri Diacono du siècle dernier n’avait pas 20 ans et n’avait jamais mis les pieds en France.
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20/01 11:23 - Fergus
@ Brieli. Oui, et de ce fait des questions restées sans réponse probante sur une catastrophe (...)
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20/01 11:18 - Fergus
Bonjour, Brieli. Merci de rappeler cet important ouvrage du fondateur de la (...)
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20/01 10:55 - brieli67
un certain 20 janvier CRASH Alors que les colonnes « ORSEC » - pompiers, secouristes, (...)
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UN VIEUX « petit rien » de 150 ans d’âge Un souvenir de Solférino à charger ici (...)
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20/01 09:14 - Fergus
Bonjour, Espérance citoyenne. Je ne fréquente quasiment pas les cimetières, et ceux dans (...)
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20/01 07:16 - Espérance citoyenne
Les cimetières représentent nos origines, notre identité, la lecture de notre histoire. Depuis (...)
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