Les contenus incitant à la haine des hommes sont nombreux sur Internet, et arborent souvent l’étiquette « féministe », par contre je ne suis que très peu tombé sur des contenus incitant à la misogynie jusqu’à aujourd’hui. Et l’antiféminisme n’est pas nécessairement de la misogynie, même si ce que veulent faire croire les idéocrates du gouvernement qui eux-mêmes s’avèrent être des extrémistes en costume-cravatte. Leurs discours propagandistes, où apparaît en permanence ce manichéisme, avec une désignation du « Patriarcat » et indirectement du mâle blanc comme coupables universels, sont d’ailleurs plutôt représentatifs de la frange la plus misandre et gynocentrique qui existe dans le féminisme. La même que l’on trouve le plus fréquemment sur Internet, assez fascisante.
Étant donné que Najat Vallaud-Belkacem représente un institut sexiste, sur-financé par le contribuable, inadéquat avec la société actuelle, dont le rôle se résume alors à distiller la misandrie victimaire et à ordonner dans cette logique la discrimination dite positive. Autant dire que je ne crois pas une seconde à son impartialité lorsqu’elle parle d’égalité. Dès lors, il n’est pas compliqué de deviner que la censure peut s’attaquer à quiconque dénonce le féminisme, ses méthodes et surtout ses dérives, y compris lorsque les pères souhaitent simplement obtenir une garde conjointe des enfants qu’ils ont contribué à faire naître.