Esquisse d’explication, on va partir du méta pour descendre vers le microcosme :

Il y a en dehors de toute compréhension actuelle quelque chose qui oblige les ions, les électrons à s’organiser et à se complexifier jusqu’à former un être humain, soit le top de ce qu’on connait de plus organisé et de plus complexe en terme de vie organisée et intelligente.

Ces ions, ces électrons forment le plasma qui compose 99,999% de la matière observable, le premier état de la matière.

Dans ces plamas se forment des courants électriques dits de Birkeland qui vont créer en certains points des décharges permanentes d’électricité (une z-machine permanente, type Los Alamos Lab) et des champs électromagnétiques titanesques, le tout générant un plasmoïde dont vont sortir les atomes lourds selon le principe mis en évidence par Marklund. C’est le centre des galaxies. C’est là que se forme la matière, qu’on passe du ionique à l’atome et à la molécule. Les courants électriques vont allumer en continu les étoiles autour desquelles gravitent les planètes électromagnétiquement (la gravité est électromagnétique). Les galaxies sont reliées entre elles, les courants circulent dans les bras contraints par la force magnétique et allument les étoiles.

Nous baignons en continu et en instantané dans ce jus cosmique dans lequel aucun atome n’est isolé du reste.

Notre système solaire baigne dans une bulle de plasma qui vibre à certaines fréquences qui bornent notre environnement, nos conditions de vie locales.

La terre est donc une entité dépendante de son environnement électromagnétique, ce qui détermine les conditions du vivant et de l’inanimé. Une roche vibre comme un humain, et l’humain comme une plante.

Il y a donc un « esprit » de la planète, savoir, les conditions électromagnétiques objectives qui président à la vie à un point P, dans un temps T sur une fréquence F, etc....

Certains babas appellent cela Gaïa. Il y a donc un esprit Terre. Ensuite viennent les esprits roches, cellules, bactéries, poissons, mammifères, humains, etc....

Un esprit groupe dirige chaque espèce (y compris au niveau de l’ADN qui se duplique et évolue en émettant des ondes électromagnétique en rapport à son environnement (Darwin était sur la piste, mais il n’a pas pu comprendre le comment)). Cet esprit part d’un niveau de l’indifférenciation totale de l’individu comme les bactéries ou les fourmis par rapport au groupe, en ce sens que les réactions individuelles sont marginales, à l’espèce humaine, la plus individualisée. Les animaux domestiques sont entre les deux. L’homme a ce pouvoir d’individualiser les espèces qu’il domestique.

ça rejoint la théorie des champs morphiques de R Sheldrake : quand un groupe suffisamment important évolue en Alaska, ça a des répercussions sur le psychisme des papous.

Les synchronicités : ça rejoint la physique quantique qui n’est rien d’autre que l’expression d’une forme de simultanéité dans le comportement de la matière/énergie explicable par le fait que tout est connecté, rien n’est isolé.

Nous ne pouvons nous extraire de l’univers, nous en sommes l’expression et interagissons avec lui en permanence.

C’est ce que nous racontent les sciences ésotériques depuis toujours. Nos ancêtres étaient moins individualisés que nous, leur esprit groupe était plus grand, leur connexion au tout bien meilleure, car intrinsèque, naturelle.

Nous avons perdu cela. C’est ce après quoi courent les maçons, les ésotériques de tout poil, mais c’est impossible, car ce n’est pas un savoir perdu, mais une aptitude perdue.

Parfois, cela se rappelle à nous sous forme de synchronicité, de déjà vu, de clairvoyance, selon le bout de la lorgnette par lequel on regarde.

Les guignols qui nous gouvernent utilisent cette science pour nous contrôler.

Raison pour laquelle, nous ne devons être que des amas de molécules sur pied sans âme et sans connexion avec « la source ».

Le nouvel Ordre Mondial est une guerre contre cela, une manipulation de cette compréhension du triptyque matière/énergie/vivant.

C’est le vrai pouvoir : celui de pouvoir manipuler l’esprit groupe de toute une espèce par la compréhension profonde des mécanismes qui l’animent.