@JL
Volants d’inertie : envisageables uniquement pour des bus qui s’arrêtent tous les quelques 100 mètres, le bus se branche sur une prise de courant à chaque arrêt et un moteur électrique qui remet le volant à la bonne vitesse. Entre deux arrêts, le bus ne consomme qu’une partie infime de l’énergie totale emmagasinée dans le volant. La vitesse du volant ne varie donc que très peu sur le parcourt entre deux arrêts.
Air comprimé : c’est le gros problème en effet. Je ne sais pas comment il l’ont résolu. Je suppose qu’ils utilisent une sorte de détendeur qui envoie l’air aux cylindres à une pression inférieure à celle du réservoir et qui peut donc être maintenue constante plus longtemps. Ou alors ils règlent simplement le débit et jouent sur la démultiplication.
Ressorts : le problème a été résolu par nos horlogers. Les aiguilles tournent à la même vitesse depuis le début jusqu’à la fin quelle que soit la tension du ressort.