En France, et surtout en Europe du Nord, nous sommes de plus en plus nombreux à nous déplacer aussi souvent que possible en vélo. Les motivations sont diverses et éventuellement cumulables : santé, écologie, économie et ras le bol de filer du fric aux pétroliers, générateurs de guerres et consorts. Quand on doit faire de plus longues distances en étant chargé, on peut aujourd’hui avoir en plus de ses vélos, c’est un moindre mal, une voiture électrique ou une hybride genre Prius. Mais il faut en avoir les moyens...
Nul doute qu’une voiture à air comme la MiniCat, à coût réduit, représente un marché potentiel non négligeable qui va bien au delà de l’Inde... et qui aurait eu un impact non négligeable sur les ventes des autres constructeurs automobiles et la consommation de pétrole puisque si j’ai bien compris on aurait pu, par exemple, stocker de l’air comprimé généré à partir de la combustion de déchets urbains ou des centrales hydro-électriques au lieu de remonter l’eau ou de lâcher les vannes comme ce qui se pratique actuellement puisqu’on ne sait pas stocker efficacement l’électricité...
Comme le dit le titre de l’article, le suicide de Karl Slym tombe à pic. Ouf ! on a eu peur : on va pouvoir continuer à polluer en paix.