@ Pale Rider
Je maintiens : l’important est
d’obtenir des institutions qui
dirigent aujourd’hui les trois plus
grands monothéismes se réclamant d’Abraham qu’elles rejettent enfin clairement leur
interprétation justifiant la criminalité attribuée à leur Dieu dans leurs
textes jadis sacralisés.
Il n’y aura pas de pacification
possible de ces religions, ni pacification des rapports inter-religieux, ni pacification
de leur rapports avec le monde profane tant que ne sera pas rejetée leur théologie criminogène.
@ charlotte
Merci
J’ai tout vérifié. Dans les deux bibles
que je possède le texte est chaque fois un peu différent mais le sens est
toujours le même, celui que vous rapportez ici.
Quand les juifs ressentant leur judéité - réelle ou attribuée par d’autres - comme un poids insupportable
décideront-ils enfin de rejeter les sources qui les font dominateurs et
criminels divinement justifiés ?
http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
Extrait :
Le Livre de Josué, plus que tout autre
livre sacralisé résume parfaitement, dans l’Ancien Testament (AT), cette
« vérité salutaire ».
Avant d’examiner cet exemple tristement
significatif de « bonne interprétation » de la prétendue volonté
criminelle de Dieu, écartons tout de suite l’objection de certains croyants
juifs : le Livre de Josué n’est pas dans le Pentateuque (les cinq premiers
livres de la Bible), qui est le seul Livre fondateur de notre religion. C’est
dans le Livre de la Genèse que « Dieu » anéantit les cités de Sodome
et Gomorrhe (Gen 19, 23) ; c’est dans L’Exode (12, 29) qu’il fait tuer tous les
premiers-nés d’Egypte, et donne l’ordre à Moïse de massacrer son peuple qui a
adoré le veau d’or (Ex 32, 21) ; c’est dans Les Nombres (31) qu’il ordonne
l’extermination des Madianites ; c’est dans le Deutéronome (7-20) qu’il demande
à son peuple de se préparer pour l’extermination des Cananéens…