Hors sujet. Qu’est ce que la race vient faire la dedans. Il y a 25% d’étrangers permanents en Suisse. Sans parler des frontaliers. Ce sont d’abord des Italiens, des allemands et des portugais....85% d’européens..
Les cultures allemande et italienne ne sont pas étrangères en Suisse et nullement connotées par un concept de race, et pour cause....
Il suffirait que les cantons francophones, plus pauvres, aient une population étrangère surtout composée de frontaliers français, et que les nouveaux arrivant les plus pauvres et les plus exotiques choisissent préférentiellement les cantons riches pour expliquer éventuellement un vote différencié entre cantons, sans vos allusions « racistes » transparente qui reviennent a dire que les allemaniques sont plus cons que les francophones...
Bon après, ce sont les chiffres légaux. Je me souviens que la statistique sur les albanais a Genève au moment de la mort d’Henver Hodja, c’était une dizaine de personne. La société qui vendait la presse albanaise a vendu des centaines d’exemplaires. Il est douteux que les clients aient été majoritairement des suisses albanophone.
Le panorama, c’est cela :
Le pays qui reçoit le plus d’étranger en Europe, mais surtout des européens contrairement aux autres. Rapporté a la France, c’est comme si nous avions 16,5 millions d’étrangers et nous apprêtions a en recevoir 600 000 par an (en comptant uniquement les légaux) pour arriver a 22 millions dans 10 ans, compte non tenu de la croissance démographique. Avec un gouvernement incapable d’assurer un logement decent, non seulement a ceux qui sont déjà la, mais aussi aux français les plus pauvres, moi, je dis que ce serait un objectif peut être honorable, « ambitieux ».
Je ne dis pas que l’on a pas le droit d’être férocement favorable a une telle politique. Je dis qu’on peut poser la question a la population de savoir ce qu’elle en pense, sans nécessairement être raciste.
Le cote nécessairement positif d’une telle évolution n’est pas une vérité révélée et intangible. Elle concerne les gens a bien des égards. Il est légitime qu’ils puissent dire ce qu’ils en pensent. Quoi que cela soit.