C’est bien ce que je pensais, vous êtes dans l’idéologie là ou je vous parle de fait
Alors dans le désordre :
les économistes sérieux savent parfaitement que l’industrie Est allemande (par exemple dans le domaine de l’électronique et de l’informatique) était parfaitement au niveau. Oui les pays de l’est ne faisait pas dans la voiture de luxe (encore que, faut juste regarder ailleurs que trabant), mais l’ouvrier français dans les années 80 il avait une 4l ou une 2CV.... ou plusieurs années de crédits.
Les résultats électoraux en Russie ? vous êtes bien le seul à leur accordé crédit. Je vous rappelle que les communistes, selon le 1er ministre Russe Medvedev ont ainsi en réalité gagné les élections présidentielle en 1996....
Quand à vos allégations sur les niveaux de vie en URSS, elles relèvent de la même propagande que celle de tintin au pays des soviet.
Pour voir le grand bon en arrière, il suffit de regarder l’espérance de vie qui a chuté dans les ex pays de l’est. Quand au PIB et au niveau de vie c’est la même chose. Le capitalisme ne résiste pas à la comparaison en terme de chiffres
Dernière chose sur les « prévisions » de Marx... on voit que vous ne l’avez pas lu, mais ne faite que colporter des propos de comptoir.
Car Marx n’a fait aucune prévision. Il s’est contempter d’indiquer qu’il serait plus aisé de passer à une société communiste dans un pays développé. L’histoire des pays socialistes au 20e siècle lui a donné raison, car l’histoire de ces pays est avant tout celle du développement tout en devant supporter les couts d’une guerre permanente avec les pays capitalistes déjà développé appuyés qui plus est sur leur puissance coloniale.
La paupérisation : regarder donc les USA, ou même tout simplement la france : les inégalités ne cessent de se creuser....
Et quand à l’avénement d’une société sans classe, Marx n’a jamais écrit que c’était ineluctable mais que sans renversement du capitalisme, nous allions vers « un effroi sans fin ». Crise écologique, crise économique, guerre qui se multiplie, oui le capitalisme nous emmène dans le mur.