@ à l’auteur
Et la liste que vous donnez n’est pas exhaustive c’est de la naissance à la mort que nous sommes emprisonnés, privés de choisir. Quasi impossible d’accoucher chez soi, d’avoir le droit de ne pas empoisonner son nourrisson avec des vaccins multivalents dont les probabilités de mise en danger sont supérieures à celles qu’il aurait d’attraper les maladies et de ne pouvoir être correctement soigné. Et quand vous mourrez on vous impose même en cas d’incinération l’achat d’un cercueil brûlé avec le corps, les associations crématistes se sont battues pour qu’il y ait la possibilité d’avoir un cercueil en carton mais c’est loin d’être possible partout, et vous ne pouvez ensuite disposer des cendres du défunt comme vous le voulez, interdiction de garder chez soi, interdiction de les épandre où vous voulez. Interdiction si vous avez un lopin de terre d’y mettre une cabane, yourte ou quoique ce soit vous permettant d’avoir un toit, on préfère les sdf que par ailleurs on chasse de partout parce que la misère elle doit rester cachée. On a imposé aux camps de mobilhome d’avoir une fermeture annuelle pour empêcher d’y vivre à l’année à tous ceux/celles pour qui s’étaient un moyen de vivre décemment face aux montants toujours plus élevé des loyers alors que les revenus baissent ...
On pourrait remplir des pages et des pages de la perte totale de droits sur notre propre vie, sur toute possibilité ou presque d’autonomie ... nous ne devons pas pourvoir échapper au système et à son esclavagisme, être juste des tubes digestifs décérébrés et des comateux sous perfusion. Je me dis qu’au point de dégénérescence où nous sommes, certain/es doivent croire que l’eau est produite par les robinet et la nourriture par les hypermarchés.
Alors le respect de la nature et du vivant, il faut pas y compter, et c’est pas les technocrates et intellos du greenwhashing que sont les prétendus partis écolo, vrais politiciens et écolo-tartuffe qui vont s’en occuper. Il y a déjà plus de 15 ans un enseignant lors d’un remplacement en région parisienne, m’avait dit sa stupeur lorsqu’il avait demandé à une classe de primaire de dessiner un poisson, de s’être retrouvé avec plus de 50% de « carrés de poissons panés » ... pour se préoccuper du vivant, faudrait-il encore être à son contact, et autre chose que du bétail en cage élevé industriellement par une oligarchie parasite ne cherchant qu’à assouvir sa cupidité et ses fantasmes de toute-puissance et d’immortalité en le tondant et l’envoyant à l’abattoir au gré de ses caprices.
Je ne suis pas optimiste concernant les temps à venir ...