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Commentaire de epicure

sur Résistance, tous ensemble et maintenant !


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epicure 22 février 2014 03:44

@Par Patriote (---.---.165.146) 21 février 13:06

Belle liste en effet qui en fait conforme tout ce que je dis : ce qui compte c’est l’évolution et le positionnement politique avant la guerre c’est à dire la droite ou l’extrême droite :

en gras non-italique, les mecs de gauche :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Collaboration_en_France

oui doriot quitte le PCF , en opposition avec la ligne officielle, puis de divergence avec le parti sa ligne va devenir la lutte contre le parti, puis former un parti à orientation anticommuniste en délaissant les luttes de gauche, et avec l’aide de personnes de droite et d’extrême droite. En 1936 il a déjà pris une orientation rouge brun, pour s’enfoncer vers une orientation fasciste de plus en plus. Qu’il rejoigne al collaboration n’est pas étonnant c’est dans la ligne droite de son parcours basé sur la vengeance, la rancœur.

  • Oui dreat qui avant 193363 quand il était au SFIO avait énoncé « que le nouveau mot d’ordre des socialistes devait devenir Ordre, Autorité, Nationé » c’est à dire des mots d’ordre d’extrême droite, qui en 1936 participe à un gouvernement de droite, bref en 40 il y a de nombreuses années qu’il n’est plus de gauche.

  • Partis collaborationnistes « moyens » (plus de 1 000 membres) :

    C’est bizarre tu as oublié de signalé que celui là était fondé par un mec d’extrême droite et que gustave Hervé avait viré à l’extrême droite depuis la première guerre , fonde un parti d’orientation fasciste avec rejoint par Alexandre Zévaès devenu l’avocat de l’assassin de Jaurès, a soutenu hitler et mussolini dans les années 20 et 30..
    Enfin bref pas le profil d’un homme de gauche, mais quelqu’un qui avait toute sa place dans al collaboration.

  • Bon voilà issu de la cagoule donc mouvement bien d’extrême droite, en adhérant à ce parti Georges soulès trahit les idées socialistes et de gauche donc.

    Encore des mecs qui ont un passé de gauche mais qui se compromettent avec des mecs d’extrême droite. marc augier passe au national-socialisme après la lecture du livre La Gerbe des forces, d’Alphonse de Châteaubriant3, juste avant la guerre. Donc il a été converti à l’extrême droite et avait abandonné les idées de gauche.

    • Les jeunes du Maréchal, créés par Jacques Bousquet, professeur de lycée, puis pris en main par Jean-Marie Balestre et Robert Hersant (ex militant des jeunesses SFIO). Membres : 1 400 maximum.
    • gros bouffon tu oses ramener robet hersan come homme de gauche, encore du foutage de gueule, c’est un homme de droite, qui adhère rapidement à un mouvement antisémite avant de rejoindre les maréchalistes

    celui là il a participé aux ligues d’extrême droite dans les aannées 30

  • Organisations collaborationnistes de notables et d’élus
    • Groupe Collaboration (dirigé par Alphonse de Châteaubriant, écrivain réactionnaire. Groupe de notables conservateurs spécialisés dans les conférences à thèmes sur la collaboration. Audience : 33 comités en zone sud et un nombre inconnu en zone nord.

    celui là c’était un écrivain réactionnaire, il a fini en exil en allemagne

  • Bon encore un membre de l’extrême droite........

    gitton qui après la démission du PCF reniera tout ce que pourquoi il s’était battu en tant que communiste, virera antisémite. Toujours le même refrain, dans la lignée de son parcours,, rien avoir avec la gauche.

    • Comité ouvrier de secours immédiat (Cosi), dirigé par Georges Yvetot, figure historique du syndicalisme français, puis par René Mesnard, socialiste passé au RNP, et Jules Teulade, ancien communiste passé au PPF. Organisation « caritative » pour les ouvriers bombardés, en fait, instrument de propagande collaborationniste envers les milieux ouvriers.

      dirigé par yvetot, c’est un bien grand mot, il était malade, vieux, et le comité n’a eu aucune activité sous sa présidence. En fait c’est le seul vrai de gauche dans cette liste au vu de sa biographie et qu’il se disait encore libertaire sous l’occupation, mais il n’a rien fait au niveau collaboration. Il a accepté une invitation sûrement en pensant pouvoir être utile aux ouvriers dans le besoin. Et sa présidence a été brève. Pas vraiment un collabo.
    • Mesnard lui il a suivit le même chemin que dréat
      Jules Teulade, exclu du PCF il rejoint ensuite le parti néo fasciste du PPF en 36, donc il avait déjà viré hors de la gauche avant la guerre, comme la plupart des noms cités ici.
    • Les Énergies françaises, ébauche de futur parti unique piloté fin 1942 par Pierre Laval  Chef : Léon Cayla, ancien gouverneur général de Madagascar. Mais, restera un petit groupe de notables conservateurs.

      Laval dans les années 30 ministre de droite dans des gouvernements de droite dont certains avec Pétain, donc homme politique de droite

    100% de ces mouvements ont été dirigés par des gens qui adhéré aux idées d’extrême droite et donc contre les idées de la gauche. Les raisons personnelles qui sont al cause n’ont aucune raison logique puisqu’il y a basculement complet des valeurs et des principes.
    Ce sont les idées défendues qui caractérisent un mouvement, pas le passé de certains membres et dans tous les cas ici c’est l’extrême droite.
    La meilleure défense contre le fascisme et le nazisme ce sont les idées de gauche puisqu’à l’opposé

Toi qui est malin, maintenant dis moi parmi tous les membres et sympathisants du PCF ou socialistes, ont suivit le même itinéraire sachant qu’en nombre les résistants les plus nombreux étaient les socialistes et les communistes.

Vu le nombre de personnes présenté, sur le nombre se communistes ou socialistes qui sont restés fidèles aux idées de gauche et ont continué à combattre celles de l’extrême droite, ces individus ne représentent qu’eux même.

tiens et que dis tu de cette liste :

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Mouvements de la résistance
Huit grands mouvements

Les huit grands mouvements qui, à partir de mi 1943, seront membres du Conseil national de la Résistance, sont les suivants :

  • Ceux de la Libération (CDLL), plutôt de droite.
  • Ceux de la Résistance (CDLR), apolitique, créé le 18 mai 1943
  • Combat, plutôt démocrate-chrétien.
  • Franc-Tireur, fondé à Lyon en 1941, dirigé par Jean-Pierre Lévy, plutôt de gauche. rassemble des tendances radicales à communistes avec des socialistes
  • Le Front national, communiste (avec une minorité SFIO et gauche indépendante2).
  • Libération-Nord, SFIO (socialiste, hégémonique avec minorités du reste de la gauche).
  • Libération-Sud, plutôt de gauche. noyau reposant sur des gens du front populaire, édite un nouveau journal s’appelant « libération »
  • Organisation civile et militaire (OCM), d’abord plutôt de droite avec une tendance conservatrice puis marquée par l’importance grandissante de sa minorité socialiste qui devient majoritaire au cours de la guerre. Deux des trois dirigeants de l’OCM étaient communistes.

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Tiens tu as beaucoup de mouvements qui sont de gauches ou avec une forte influence de gauche
Par exemple le Front national est une création du Parti communiste, donc c’est plus représentatif du parti que des individus isolés qui ont rejoint la collaboration.
Quand au SFIO la majorité rejoint les rangs de la résistance.

En fait si on regarde bien les deux seuls partis qui sont liés à une mouvement de résitance sont les deux grands partis de gauche
mais le neuneu de service il va continuer à brailler « mais ou mais non SFIO pétain cocos PPF etc... la gauche c’est la collaboration »

Manipulation démasquée !!!!!!!

C’est sûr qu’en se basant sur des étiquettes uniquement sans contenu politique, même en fouillant dans les poubelles de l’histoire personnelle, on peut arriver à faire dire ce qu’on veux aux événements.
Une vrai analyse permet de démasquer la supercherie du message manipulateur.


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