Commentaire de GHEDIA Aziz
sur Lettre ouverte aux intellectuels algériens
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Quand je parle de l’alternance au pouvoir, cela suppose, ça va de soi, que le peuple doit être libre de choisir ses représentants ou son président. Je ne parle pas d’une « présidence tournante » comme cela se pratique, par exemple, dans l’Union européenne. Or, il se trouve qu’aujourd’hui, en Algérie, on veut nous imposer le 4° mandat de Bouteflika.
Derniers commentaires
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28/02 10:18 - Constant danslayreur
Bonjour Hakim Talentueux Sakhri face à un dinosaure et à un journaliste acquis à la cause ... (...)
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26/02 20:41 - Constant danslayreur
Ah d’accord ... il y a des élections en Djazairie ... tout sesplik :-)) Plus (...)
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26/02 19:37 - Serpico
Très bonne décision. Y participer serait carrément de la complicité et ne servirait qu’à (...)
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26/02 15:32 - GHEDIA Aziz
Serpico, je peux vous assurer qu’effectivement, nous avons une base militante. Elle nous (...)
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26/02 14:59 - Serpico
Gloire à la colonisation ! c’était le paradis finalement ! Vous rendez-vous compte de (...)
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26/02 14:58 - Serpico
« Aidé en cela, comme vous le dites par les Algériens de l’immigration » Oui, parce (...)
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