Bonjour Hervé,
Merci pour cet effort, c’est exactement ce que j’essaie de lui faire comprendre, mais en m’y prenant mal (en fait, lorsque l’on connait les biais cognitifs, tout ce qui vient désormais de moi est jugé par lui comme « mauvais », c’est pour cela que l’on dit souvent qu’une véritable discussion dans un but de communiquer - sous-entendu se comprendre - s’effectue à trois participants minimum, car à deux, cela risque de tourner aux dialogues de sourds qui ne sont plus alors que des monologues, surtout à l’écrit ou la voie de l’empathie est considérablement restreinte).
« Alors, l’ABCD de l’égalité base-t-elle sa méthode sur l’indifférenciation ou non ? »
La réponse à cette question est claire et absolument sans appel. Elle est contenue dans la convention interministérielle que j’ai donné en lien dans mon article et les méthodes qui sont préconisée sont bel et bien toutes basées sur l’indifférenciation sexuelle. Dont acte !
D’où l’importance de bien distinguer la fin et les moyens utilisés pour atteindre cette fin comme je ne cesse de le clamer.
En tout état de cause, merci encore pour ton intervention (avec tout ça, je prends un sacret retard sur l’article que je souhaite écrire sur l’empathie, même si j’ai pris pleins de notes que je réorganise ensuite, ça fait plus d’un mois et demi que je ne m’y suis pas penché dessus... ça va être laborieux). Mais bon, c’est bien fait pour moi, j’avais pas qu’à me disperser avec cette théorie du genre et l’affaire Dieudonné.
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