Regardez les chiffres et le monde. Dans la seconde moitie du 20 eme siecle, l’esperance de vie a en gros double dans ce qu’on apellait le tiers monde, l’alphabetisation qui etait inexistante dans certains pays est proche de 100% partout, il n’y a plus de famine hors conflits, et la pauvrete relative et absolue a régressé partout.
Comme tous cela s’est fait, d’après l’auteur, en une période de domination absolue des petits blancs, on ne peut interpréter cela autrement que comme un généreux partage.
Évidemment, si on pensait que ces pays, indépendant,ont plus ou moins progresse a coup d’échange, de libéralisme, de commerce, de travail de tous, il faudrait être moins catégorique. Ce serait juste la libéralisation en tant que telle la source du progrès et non la générosité. Mais ce n’est pas l’hypothèse de l’auteur.
Et en cela, il est cohérent. cela lui permet d’affirmer que « nous n’avons pas donne assez ».
dans l’hypothèse inverse, il serait oblige de se demander quel est le partage des responsabilités....Enfin,je dis responsabilite....On a affaire a un discours d’ado qui reproche a ses parents ses malheurs existentiel et qui explique qu’il va quitter la maison et qu’on le regrettera beaucoup, sauf, si on augmente son argent de poche...