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Commentaire de eric

sur T'es mal barré frère P'tit blanc ! Et nous aussi !


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eric 11 mars 2014 16:49

Alinea, soyez sérieux 5 minutes
Prenons a nouveau l’exemple concret de l’Algérie.
Qu’est ce qu’on leur vole comme terre ? Au contraire, il y en avait plus au départ des petits blancs qu’a leur arrivée.
On a paye comme des fous : wiki

La période coloniale est caractérisée par de lourds et coûteux investissements pour la métropole. Ces investissements visent à la création des infrastructures nécessaires au bon développement de la colonie (ports, ponts, routes, hôpitaux, bâtiments administratifs, écoles…) et sont supportées par les contribuables français69. Le commerce lui-même se fait largement aux dépens de la métropole, car l’Algérie n’est pas un fournisseur de matières agricoles ou minières à bon compte, mais voit ses produits achetés le plus souvent bien au-dessus des cours mondiaux70. En 1958, 22 % des importations coloniales sont constituées par le vin algérien dont le prix à qualité égale est 75 % plus cher que le vin grec, espagnol ou portugais71. En 1952-1953, les recettes locales sont incapables de faire face aux dépenses de fonctionnement : l’Algérie est en faillite. Le gouvernement d’Antoine Pinay doit demander au parlement le vote de 200 millions d’impôt nouveaux et est contraint de procéder à des coupes dans le budget de la métropole pour rétablir la situation dans la colonie. Lors des années suivantes, les déséquilibres algériens vont sans cesse augmentant et sont rééquilibrés par la France. En 1959, l’Algérie engloutit à elle seule 20 % du budget de l’État français. L’Algérie, durant la période coloniale, loin de présenter une source économique avantageuse est un lourd fardeau pour la métropole et ses contribuables.

C’est vrai que les kabyles sont obliges de subir les vexation des arabisant, mais c’était déjà vrai avant nous et l’est reste apres nous et ils ont eu 50 ans pour y porter remède. C’est eux qui ont tenu a avoir le sahara en depit des frontieres d’avant la colonisation.

Je n’ai pas le sentiment que nous leur ayons imposer notre Dieu.

Quand a la cohérence de leur culture, j’ai l’impression aussi qu’elle se porte pas mal.

Après, allez voir la balance commerciale : on leur échange de matières premières naturelles pour lequel ont doit en gros fournir tout, depuis les trous jusqu’à la technologie et le financement en admettant que le fait d’être ne sur un bout de terrain te donne la propriété de ce qu’il y a en dessous, et on le leur échange a un cours défavorable contre le fruit de la sueur de nos fronts....

C’est plus facile de laisser sortir du gaz d’un trou que de faire pousser du blé ou fabriquer un médoc.

D’un point de vue purement marxiste, notre travail, notre plus valu, sont exploites par des rentiers....

Mais la révolte gronde, les travailleurs ne sont pas dupe : bientôt la révolution redonnera la richesse a ceux qui la produisent et pas a ceux qui dorment dessus en s’enrichissant... !


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