au frère P’tit blanc auteur de l’article
Parce qu’il est superbement écrit, et parce
qu’il dit bien des choses justes, votre article ne peut laisser indifférent.
Mais vous vous trompez gravement sur un
point. Un point sur lequel votre article est
dépassé.
Etudiez un peu ce que fut le "petit
blanc" des Antilles après l’abolition de l’esclavage et regardez vraiment ce que sont devenus
bien des blancs de condition modeste dans nos banlieues. Ils sont devenus, ou
sont en train de devenir, des « petits blancs » au sens antillais du
terme.
Parce que l’imbécile fausse gauche croit
malin de leur préférer les nouveaux venus, y compris ceux qui ne veulent pas
s’intégrer.
Y
compris ceux qui sont porteurs d’islam, c’est-à-dire de la religion la plus conquérante, la
plus violente, la plus barbare, la plus incompatible avec les lois du pays
d’accueil.
Celle avec laquelle il est impossible
d’humaniser le monde et d’en redistribuer équitablement les richesses.
Vous devinez bien les drames qui vont aller
en augmentant : les peuples des pays
« décolonisés » seront toujours exploités, mais prenez conscience que c’est de plus en plus comme ces petits blancs de nos
quartiers défavorisés.
Vous devinez bien les solutions : que
les pays riches aident les peuples
pauvres qui veulent sortir de leur misère mais plus leurs dirigeants corrompus et complices des exploiteurs.
Mais ce n’est pas ce qui est au programme de la
fausse gauche, comme ce n’est toujours pas au programme de la vraie droite
sarkozienne (pour moi la droite extrême) qui n’a toujours pas d’autre projet
que de donner plus à celui qui a déjà plus "parce que c’est ça qui fait
marcher l’économie".
Relisez le commentaire de
« joyeusetés » du 11 à 14 h 44.
Prenez conscience et dites clairement que
la fausse gauche immigrationniste est, toutes
tendances confondues, et comme
la droite sarkozienne avant elle, complice
de ceux qui font durer la misère dans les pays les plus démunis.
C’est par l’union des peuples chez eux que pourra être efficacement
combattue et vaincue la double calamité aujourd’hui
mondialisée : l’économisme et l’islamisme.