Le 2ème triolet de Star Wars est à mon
goût navrant, perverti idéologiquement par les lobbys qui contrôles
hollywood de façon bien plus professionnelle que dans les 80’s. C’est mièvre
et rutilant dans sa plastique, cultivant le rôle de l’insupportable crétin utile, ici « Missa content », plus fort encore que les radotages ineptes et incessants du robot Sispéo des débuts que tout spectateur sensible a rêvé de débrancher ou de découper au laser.
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Entrer en profondeur dans les univers déployés me gave d’avance.
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Cette
métaphore politique typique à la SF peut être un signal lancé aux
spectateurs/trices (ou aux lecteurs/trices) perspicaces, et ce depuis
toujours. Mais évidemment, une fois repérée, cette métaphore n’a pas à
devenir l’objet d’un culte ! elle n’était qu’un simple outil pour référer
à une situation bien réelle, concrète et, c’est celle là qui donne à
réfléchir et à agir ! Vénérer le doigt qui pointe « on ne sait quoi » est
un peu léger mais quand on voit ce qu’il pointe, on peut le lâcher, non ???
Comme ici, dans l’analyse d’un Star-Wars à adorer
bibliquement, à chercher ce qu’un Obiwan a sur le cœur, ce que la
confrérie « Jedi » a de plus noble ou l’empereur obscure de plus noir, à
quoi bon ?! Qu’est ce qu’on peut bien en avoir à caler ?
Je pense
que la personne qui a écrit cet article est familière de « la bible » et
voit du sacré partout... alors pourquoi pas là ?
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Matrix a
également mis sur pattes une armée de penseurs qui se tordent le citron
pour définir le nombre de matrix imbriquées et leur couleur respective,
puis finalement ce que ce(s) film(s) veut essayer de nous dire, à part
« tu perds ton temps ».
Ces philosophes de la matrix ont dur à parler
de politique mondiale, de médias menteurs, de malbouffe, sans essayer de
situer tout ça dans la matrix, dans quelle matrix ? de quelle couleur !
Bref, ils sont bons à se réunir en club de matrix mais gavent
ceux/celles qui s’engagent idéologiquement et/ou activement sur le terrain.
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Merci hollywood !