@Topaze
Je vous suis très reconnaissant des messages haineux,
calomniateurs et méprisants que vous postez continuellement à mon encontre et à
l’encontre de nos milliers d’adhérents et de sympathisants, le tout sous couvert d’un lâche anonymat.
Car
ils permettent aux dizaines et dizaines de milliers de lecteurs
d’Agoravox, - tous ceux qui lisent en silence les articles et les fils
de discussion sans intervenir -, de se faire une opinion sur les arguments des uns et des autres.
Et
la très grande majorité d’entre eux se rendent compte du vide effrayant
de vos arguments : en dehors de la haine qui transpire de vos messages
que vous croyez pertinents, vous ne répondez rien aux différents points
précis de ce communiqué, pas plus qu’à aucun autre de mes articles.
Vous prétendez que je serais « d’extrême droite » ou « d’ultra
droite » ? Mais les dizaines de milliers de lecteurs qui vous lisent
peuvent constater que c’est vous, et vous seul, qui avez un comportement
typiquement fascisant : vous éludez toute question de fond, vous
refusez de prendre connaissance de nos analyses et de notre programme,
vous ne connaissez que l’attaque ad hominem, vous procédez à des
amalgames scandaleux et vous m’imputez de façon calomniatrice des
pensées qui n’existent que dans votre imagination.
Dans votre esprit, plus nos analyses sont limpides et conformes à
l’esprit du Conseil National de la Résistance, et plus vous y voyez la
« preuve » d’une sournoiserie et d’une dangerosité ! Ce genre de
« raisonnements » est exactement comparable à celui des Ligues
factieuses de l’entre deux guerres ou de la presse collaborationniste
des années 40. Du reste, et comme tout « corbeau », nous n’avez même pas
le courage de publier vos torchons sous votre véritable identité.
C’est cette impuissance de nos adversaires les
plus acharnés à nous répondre sur le fond qui est à l’origine de l’envol
exponentiel de l’UPR. Nous venons de dépasser il y a quelques minutes
les 4345 adhérents et ce nombre ne cesse de croître jour après jour, en
dépit du verrouillage médiatique absolu dont nous sommes l’objet.
Continuez donc à nous calomnier et à nous insulter, cela nous sert.
François Asselineau