Effectivement on n’ a pas détecté des ondes gravitationnelles mais un effet de polarisation du fond cosmologique, qui est prévu par l’analyse du BB . or jusqu’à présent dans une proposition logique élémentaire :
« si A entraîne B , il n’est pas prouvé que B entraîne A ».
D’autre part il doit y avoir quelque part encore plusieurs de ces vulgarisateurs aussi géniaux qu’incultes confondant vitesse de groupe et vitesse de phase pour avoir trouvé la même stupidité sur la vitesse en anglais, en français et en italien.... ( cela me rappelle des neutrinos supra luminiques où un seul journal, italien soulignons le, eut le courage de publier en même temps un contre communiqué signé d’une trentaine de chercheurs).
Au-delà on peut se passer du BB. Il y a plusieurs exemples, d’abord les univers stables, puis les univers pulsants , tout dépendant de la densité d’énergie /matière prise en compte. Enfin il y a de façon plus récente mais dont l’origine remonte à Dirac ( oui ! à Dirac lui-même) : la contestation sur la constance des données fondamentales au cours du temps ( attention cela ne remet absolument pas en cause ni l’expérience de Morley-Michelson, ni l’identité de cette valeur au même instant dans tous les repères, ni la Relativité Générale considérée comme « locale » au sens du temps). L’une de ces théories, bien convergente avec la RG est dû à un chercheur taïwanais Win-Yi Shu « Cosmomogical model with no Big Bang ».
On oublie bien des choses c’est que la RG c’est une théorie de la gravitation expliquant les VALEURS de la déviation des rayons lumineux par les masses, la précession de l’orbite des trois planètes intérieures, l’existence du trou noir ( on est déjà chez Schwarschild) , l’effet Mössbauer ( ou pour faire image.
On ne peut oublier que pour des valeurs « moitié » le rayon du trou noir était déjà chez Laplace, et il aurait pu aussi donner une déviation des rayons lumineux dans le cadre d’une théorie corpusculaire de la lumière qui à son époque pouvait être défendue.