RefReferendum en Crimée : Le pays du goulag levant
(ex-USA) fait son effarouchée et oublie son lourd passé
Pratiques de spoliation coordonnées, régulées, de nos jours, mais tout
aussi implacablement, par l’Union Européenne pour ce qui relève de l’ancien
domaine colonial des Etats membres. Sous emballage se voulant, à présent,
indiscutablement scientifique et valorisant : « Accords de libre échange ».
Qui ne sont, en fait, que la modernisation du pillage par des Etats
« forts » à l’encontre d’Etats « faibles ». Forcés
d’abandonner leur souveraineté économique et financière.
Comme au temps des « politiques de la canonnière », démantelant
leurs droits de douane, tuant leurs industries, bradant leurs ressources
naturelles et agricoles. En conséquence, renonçant à leur développement.
S’emparer des marchés et biens publics, après privatisations ou coups
d’Etat suivant le niveau de bonne volonté des pouvoirs locaux. Telles sont les
nouvelles approches coloniales…
Avec une rage, surprenante chez les uns et les autres. Tout
particulièrement, celle de notre suzerain : les Etats-Unis…
Plus « simplement » souvenons nous que l’Ukraine et la Crimée
étaient dans l’Empire russe depuis Catherine II, la Grande, fin du XVII siècle.
Plus pertinemment historiquement, l’Ukraine fut sous la désignation de Royaume
de Kiev, le berceau du futur Empire Russe ! C’était à la fin de l’Empire Romain
d’Occident, cinquième, sixième siècle/
Ces « pauvres » technocrates incultes de l’UE et des USA sont
comme à leurs habitudes et pratiques dans le déni de la réalité historique pour
des motifs uniquement colonialistes !
Il est encore temps que la communauté des nations du monde les isolent par
un « cordon sanitaire », jusqu’à ce que les peuples anglo-yankees
aient retrouvés la maîtrise de leur destinée en se débarrassant de l’oligarchie
néo-libérale, néo-colonialiste qui les oppriment depuis la proclamation de la
doctrine chrétienne de la découverte au 16 éme siècle, la conséquence en étant
l’impérialisme capitaliste menaçant les populations de notre planète, sous le
vocable de « mondialisation » !