La nomination imminente de Valls au poste de 1er ministre décroche la une de la presse, lourdement appuyée par une série de sondages le donnant favori parmi les électeurs,
ces mêmes sondages portaient aux nues, il y a peu, DSK puis Hollande lorsqu’il s’est agi de trouver un substitut à Sarkozy,
trop exotique, mégalo, narcissique pour conduire à terme les réforme d’inspiration libérales projetées,
le seul à même de mobiliser des millions de manifestants ds les rues
Un gvt en état de crise ds un pays à l’économie affaissée, par paliers, depuis les évènements Golfe et le choc prétoire, le dernier en date, l’épisode des Subprimes lui ayant été fatal ;
Valls, libéral affirmé, atlantiste revendiqué, groupie un temps de la méthode Sarko marchant sur la trace de ses pas comme d’autres à la surface de l’eau, 5 % aux primaires socialistes,
assurément FH a entendu la résignation des ses électeurs perdus, passés par pertes et profits,
qu’en est il au juste de ce socialisme, new wave, no wave,
Bushiste au plan politique étrangère,
Blairo-Schroedérien (version édulcorée du couple Reagan -Thatcher) matière économique
rendons grace a ce parti d’avoir ouvert les yeux de nos concitoyens, éveillé leur lucidité égarée,
s’il n’y a pas de solution c’est qu’il n’y a pas de problème , les effets du libéralisme économique et financier, de la dérégulation n’entrant pas ds cette dernière catégorie
le socialisme n’est d’évidence pas la bonne réponse plutôt une question, le socialisme existe t il ?