à hamed
l’éthique de la connaissance pourrait conduire au socialisme. [
tout est dit .
Le Hasard et la nécessité »= , Jacques Monod =lyssenko
L’affaire Lyssenko
appelle inévitablement sous la plume de ceux qui se penchent sur elle
les qualificatifs les plus définitifs et les superlatifs les plus
réprobateurs : « l’épisode le plus étrange et le plus navrant de toute l’histoire de la Science », selon le prix Nobel de biologie Jacques Monod4 ; « un délire à base d’intoxication doctrinale et idéologique » d’après le biologiste et vulgarisateur Jean Rostand5 ; « une régression, unique dans les annales de la science contemporaine », pour les journalistes Joël et Dan Kotek6 ; et rien de moins que la « plus grande aberration rencontrée dans l’histoire des sciences de tous les temps »7 , « digne des plus sombres périodes du Moyen Age. Les surpassant même. », si l’on veut bien suivre le biologiste et historien des sciences Denis Buican.8
Il est vrai que 60 ans
plus tard, celui qui parcourt cette histoire et ces textes est
rapidement frappé par le caractère délirant de certains aspects du
lyssenkisme, et se demande immanquablement : comment cela-a-t-il été
possible ? Comment des gens par ailleurs cultivés et intelligents
ont-ils pu se laisser entraîner dans cette galère ? Et surtout : comment
un Etat aussi important que l’URSS, qui proclamait par ailleurs sans
réserve son adhésion à une vision scientifique du monde, a-t-il pu
confier son agronomie à un charlatan, tout en le laissant ensuite
détruire un pan entier de la recherche soviétique, celui de la
génétique, pourtant jusque là plutôt bien portant dans ce pays ?
monod .qui dénonce en lyssenko la propagande communiste nous sert avec l’évolutionisme la propagande socialiste !