@ Patrick,
Je ne suis pas abonné à Médiapart donc je n’ai pas accès à l’ensemble de l’article, mais ce qui est écrit au début : "Cécile Duflot a eu du mal à maîtriser l’émotion qui faisait chevroter sa
voix. « Ma conscience me fait un devoir de résigner mes fonctions de
membre du gouvernement avec lequel je ne suis plus en communion d’idées
ni d’espérance », a-t-elle introduit, en référence à la démission de
Gambetta lors de la guerre de 1871.« n’est à mon sens rien d’autre que de la comédie, comédie qui cache très bien un vil calcul de basse politique et Médiapart tombe apparemment dans le »panneau« , même s’ils ne sont peut-être pas complètement dupes. Et en en faisant des tonnes sur les »risques« que prendrait Cécile Duflot auprès de son électorat, des parlementaires EELV, du soutient ou pas soutient au Gouvernement, etc., le journaliste de Médiapart et tous ceux qui lui emboîteront le pas font le jeu de Cécile Duflot en faisant passer ce calcul politique sans grand risque pour une position morale courageuse !
Merci pour l’ensemble du discours politique de Cécile Duflot devant son parti dans le lien suivant celui de Médiapart, mais ça reste un discours politique fait de plein de promesses qui sont là pour ceux qui veulent bien les entendre ... Et si on peut voir que Cécile Duflot est capable de lyrisme et de jouer sur les sentiments et l’émotion qui fait »chevroter sa
voix", cela ne fait que montrer que celle qu’on a pris pour une petite chose est bien plus douée qu’elle n’y laisse paraître en prime abord, et qu’elle risque d’en surprendre plus d’un ! Démontrer cela était tout l’objectif de mon article ...