Aux drogués du RU, et à tous ceux qui m’ont moinssé :
Le RU est la réponse des chiens de garde de l’économie néolibérale aux initiatives décrites dans l’article ci-dessous, en même temps que le meilleur moyen pour torpiller ces initiatives :
David Bollier : « Les communs nous aident à sortir du carcan de l’économie néolibérale, à travers des alternatives concrètes »
’’Qu’il s’agisse d’écologie, de défense des services publics, de
culture, de science ou de technologie, les biens communs – ou, plus
simplement, les « communs » - ont pour principal attrait de dessiner une
alternative pratique aux logiques de commerce et de contrôle, mettant
l’accent sur la coopération et le partage, et redonnant du pouvoir et de
l’autonomie aux simples citoyens. D’un autre côté, la notion de « biens
communs » est invoquée à propos de choses extrêmement différentes entre
elles, depuis la préservation des traditions indigènes jusqu’à Linux et
Wikipédia, en passant par la gestion collective des ressources
naturelles, les services et infrastructures publics, les coopératives et
l’économie solidaire, les jardins partagés et les AMAP… Difficile
parfois de trouver un fil conducteur.’’
Article à lire sur multinationales.org, le 10 avril 2014
En effet, quoi de mieux qu’un RU pour marchandiser les derniers services publics ? Et lorsque tout sera marchandisé, qui restera-t-il pour verser ce RU ? Devinez ! Lisez ou relisez Matin Brun.
ps. le réponse du chantre agoravoxien néolibéral délégué au RU, est attendue ; j’ai nommé jpm.
Mais caleb irri en tant qu’auteur de l’article est directement concerné.