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Commentaire de Onecinikiou

sur Chronique d'un éveil citoyen – Episode 1 : L'électrochoc Dieudonné


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Onecinikiou 15 avril 2014 16:46

Puisque vous contestez les éléments que j’apporte, reportez-vous à ces liens :

(le premier à partir de la gauche, parfaitement reconnaissable)

http://imagizer.imageshack.us/a/img207/5449/gueulenoire.jpg

Déclaration de Raymond Casas, représentant des Jeunesses communistes, fondateur du musée de la Résistance et de la Déportation de Blois :

http://www.lexpress.fr/informations/quand-le-pen-voulait-rejoindre-les-ffi_680693.html

Sur le fait d’être parti combattre sur différents théâtres d’opération, la noblesse d’âme se révèle dans le fait d’avoir rejoint le contingent, dans l’optique pensait-on, à tord ou à raison, de défendre les intérêts supérieurs de la patrie. 

Quand je parle des socialo-communistes, vous n’avez visiblement pas compris : il ne s’agissait pas en l’occurrence des régimes à aller combattre, mais du pouvoir politique français majoritairement socialo-communiste d’alors, qui lui pris la décision d’envoyer le contingent, qui lui, sous la IVème République, en état de droit, était seul à même de le faire. Ce qui fut fait. 

Je rappelle à toute fin utile que la décision d’accorder en mars 1956 les « pouvoirs spéciaux » à Massu, c’est à dire à l’armée, pour mater la rébellion et rétablir le calme à Alger qui voyait chaque jours des bombes exploser dans les rues, fut votée par l’ensemble des députés communistes d’alors. Il ne manqua pas une voix, vous entendez.

Or quels députés communistes ou SFIO a mis en acte ses idées en partant combattre (et se salir les mains) pour réaliser ce qu’il venait de décider démocratiquement par la représentation nationale au nom du peuple français ? Aucun. 

JM Le Pen lui l’a fait. Alors que rien ni personne ne l’obligeait à cela. Hormis sa conscience qui sans doute voyait là une contradiction d’envoyer à la guerre et sinon à la mort ses propres concitoyens alors que lui profitait des prébendes (et des protections) offertes par son mandat et les institutions de la République. La vérité historique exige de le reconnaitre. 

Il n’y a strictement aucun fanatisme ici, et qui est une caricature de votre part visant à disqualifier mon propos sans argumenter. 

Il y a seul le soucis de rétablir la matérialité des faits et des postures, et réhabiliter un homme dont la réputation a été indument jetée à la vindicte populaire par ceux là-même - les médias de masse, l’oligarchie euro-mondialiste, le Lobby tout puissant, dont les intérêts étaient (et sont toujours) convergents - que vous prétendez combattre, dans le discours...

Politiquement vous êtes à la rue. Ce qui transparait de vos reflexions faussement désillusionnées est que vous manquez en fait de culture politique et de profondeur historique. 

Vous avez été comme tant d’autre façonné, formaté par le système médiatique vis à vis de JM Le Pen et du Fornt National, après trente années de patientes et méthodiques diabolisation, intoxication, mensonge, travestissement le concernant. 

Tout ce que vous savez, ou croyez savoir, à leur sujet est directement tiré des médias aux ordres du Capital apatride contre lequel vous pensez benoitement être un dissident résolu. 

Tout ce que vous savez, ou croyez savoir, est passé par le filtre, par le prisme, par le référentiel idéologique et grille de lecture de la pensée unique dominante à son service exclusif. Et vous croyez être libre de vous être fait une opinion dépassionnée ? Tout démontre bien au contraire que vous y êtes soumis sans même en avoir conscience, ce qui est d’autant plus grave.
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