Toute cette histoire repose sur un postulat qui, malgré une campagne de près d’un siècle, veut nous faire croire que les vaccins protègent contre les maladies. Hors après de multiples enquêtes, le constat est affligeant : Aucun vaccin n’a contribué à faire diminuer les maladies. Si elles ont disparues, comme certaines c’est essentiellement à cause du développement de l’hygiène et de la prévention.
Par contre, ce qui est certain ce sont tous les décès et troubles graves causés par ces vaccins. Même les fabricants ne savent pas comment ils fonctionnent. Mais comme la publicité et l’information dans les milieux médicaux, dans les universités de médecine et dans l’enseignement en général est essentiellement fournie par les multinationales pharmaceutiques, autant dire que l’information est biaisée.
Pasteur qui, en passant n’a jamais été médecin mais chimiste, ce qui n’est pas tout à fait pareil, était un imposteur. Il n’a jamais découvert de vaccin contre la rage comme on se complait à le dire, mais par contre, avec ses expérimentations, il a fait mourir des dizaines de personnes. Comme bienfaiteur c’est un peu léger...
Par ailleurs, cette conception de microbe ou virus causant les maladies et devant être traité soit par des médicaments soit par des vaccins à titre préventif, repose sur une conception tout a fait fantaisiste de la médecine. Ce qui compte c’est le terrain. Si l’organisme est déséquilibré, quelle qu’en soit la cause, il tombera malade. S’il est équilibré, ce n’est pas un virus ou une bactérie qui le fera tomber malade. Mais bien entendu, pour l’industrie pharmaceutique, il FAUT que les gens soient malades pour pouvoir vendre leurs « médicaments ». Ce qui compte pour elle, ce sont les bénéfices, pas la santé des gens. S’ils sont en bonne santé, ce n’est pas intéressant. Donc on fait le maximum pour que la population soit malade, au besoin en provoquant les maladies.