En 1994, Philippe Douste Blazy a lancé une campagne mensongère et extrêmement agressive dans le but de faire vacciner une majorité de français contre l’hépatite B.
Il a racheté des vaccins destinés aux pays d’Afrique (à ce moment ces derniers n’avaient pas les moyens de les acheter) et a lancé une grande campagne pour vacciner les élèves de sixième contre l’hépatite B.
Ce qui est inquiétant actuellement, c’est qu’en lisant le plan cancer il est écrit : que les infirmières scolaires vont vacciner à la fois contre les papillomavirus mais également contre l’hépatite B. Pour ceux qui ne l’ont pas déjà été.
Dans le plan de préparation du plan cancer, il y a même une phrase qui indique : qu’il faudrait réfléchir aux moyens de passer outre la volonté parentale :
Étudier les conditions d’amélioration de l’accès à la vaccination pour les mineures
dont les parents n’acceptent pas la vaccination.
www.e-cancer.fr/.../10686-recommandations-pour-le-troisieme-plan-cancer...
Actuellement, les infirmières scolaires dépendent intégralement de l’éducation nationale.
Mais elles se battent pour ne pas devenir polyvalentes en refusant la création d’un corps interministériel : http://www.snies-unsa-education.org/
Lors de la campagne de vaccination massive , elles avaient été réquisitionnées et celles qui voulaient refuser étaient passibles de 6 mois d’emprisonnement et de 10 000 euros d’amende.
Nous pouvons être inquiets.