Le problème est que vous mélangez tout.
Personne ne niera que cette réforme c’est du grand n’importe quoi. Elle s’est faite sur les décombres de l’incendie catastrophique que Sarko a provoqué en supprimant une demi journée d’école.....Décision étonnante, qui a été d’offrir une paire de godasses de plomb aux gosses en train de se noyer.
Inutile d’être trop cruel en rappelant ce que tout le monde sait : L’école publique ne répond plus à ses obligations, le niveau ne baisse plus, il chute, tout cela a été vérifié au niveau des études internationales.....
Quid de cette décision de foncer vers l’iceberg ?
Faire plaisir aux professionnels ?....Le libéralisme c’est vrai n’a pas d’état d’esprit, et ne vises pas plus loin que le bout de son nez et de son portefeuille, en sacrifiant l’éducation.
La gauche revenue au pouvoir a donc tenté de remettre les choses en place. Tollé des enseignants, qui ne voulaient pas revenir à ce qu’ils considéraient comme des acquis : 1/2 journée de moins de présence...
Voilà d’où est venue cette réforme étrange, dont le but était de déplaire au moindre nombre, en flirtant avec la démagogie : Faire venir des intervenants extérieurs.
La marche arrière s’impose une nouvelle fois, faute d’avoir un tout terrain, une décision politique qui se moquerait des intérêts particuliers et viserait l’essentiel, l’intérêt de l’enfant.
Nos conseillers travaillent à une autre sujet tout aussi important : Convaincre le lambda moyen de l’utilité de l’étude des genres, et du formatage qui va avec.
Envoyez les crédits : Ils profiteront à des oligarchies de confort, à qui l’on viendra cirer les pompes, sous le beau prétexte d’égalité