"Ce serait encore pire s’il n’y avait pas l’ UPR... Au moins avec
Asselineau on comprend le dessous des cartes, il ne tient qu’à toi de
nous rejoindre.
La désinformation est telle qu’il faut du temps pour comprendre
comment on en est arrivés là ; expliquer prend du temps, mais il n’y a
pas d’autre moyen.
ça irait plus vite si nous étions 50 000, nous aurions peut-être alors accès aux médias...«
J’ai déjà écouté à plusieurs reprises les conférences d’Asselineau.
La vérité c’est qu’on a tellement été floués que maintenant je reste sur mes gardes politiquement parlant. Tu me dis de vous rejoindre... A vrai dire il me faut analyser les partis qui m’intéressent sous toute les coutures car ma confiance est ébranlée. Je ne veux plus entendre parler de l’UMP ou du PS. Les extrémistes ne m’intéressent pas. La chose que j’ai comprise de tout ça c’est qu’on est pas d’une démocratie, qu’on élit une espèce d’aristocratie qui n’a de comptes à rendre à personne. Aristocratie qui va contre les intérêts des petites gens.
Car quand on cautionne l’idée que quelqu’un, sous prétexte qu’il a un bas niveau de diplôme, n’a pas le droit contre son travail, d’avoir une rémunération descente, alors on est un esclavagiste. A mes yeux les discours de certains de nos »représentants« sont des discours très choquants. Mais ils arrivent à convaincre en faisant croire qu’on a pas le choix et que sinon ça va être pire.
Je sais quel est la désinformation... Pour avoir lu Edward Bernays (Propaganda), j’ai une petite idée de la vision qu’on ceux d’en haut vis à vis de nous. J’ai même croisé deux petits »bourgeois" prétentieux, qui sûr de leur intelligence estimaient que les gens étaient comme des demeurés et n’avaient pas à se mêler de politique. S’ils râlaient contre le système c’était juste pour dire que tous, nous sommes des veaux. Moi je préfère la vision de Mr Chomsky à ce propos.