Vous avez raison, je n’ai pas pris en compte la « tique » dont vous parlez et qui porte le joli nom d’APL. Pour moi, si les APL n’existaient pas les prix seraient obligés de descendre d’autant pour pouvoir trouver des locataires, donc je l’avait compté comme partie intégrante du loyer. Mais vous avez raison, au niveau société ça revient probablement à faire payer par tous des subsides pour les loueurs d’appartement, principalement parisiens. Cela dit, les APL c’est aussi fait pour ceux qui n’ont pas de famille sur place.
Je ne sais pas où en est l’évolution des frais d’inscription, pour ma part j’en ai eu pour 450 euros TTC (polycopiés et assurance compris), après la première année j’ai pu les payer moi même.
Au delà de la question du logement, avec 200 euros par mois il est possible de prendre en charge à peu près tout le reste. Bien sur, ça repose sur quelques avantages qui tiennent à Paris et à la jeunesse : pas de frais de santé, pas besoin de voiture, pas de famille à nourrir, la capacité à manger beaucoup de pâtes sans se rendre malade, des propositions culturelles gratuites...