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Commentaire de Emmanuel Aguéra

sur Qui suis-je ?


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Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 29 avril 2014 08:42

« les idées de merde... » Je ne sais pas à quel degré vous vouliez être compris, mais en tout état de causes, vous ne croyez pas si bien dire...

En effet, et au passage, merci et bravo à l’auteur de ce billet précis et bien écrit, il y a encore des auteurs qui font un plan de ce dont ils vont disserter et c’est heureux ; en effet disais-je, la vieille idée que l’on digère mal, soit lorsqu’on déprimé, soit après une contrariété, bref, en conséquence d’un état dépressif, affectif ou autre, pourrait bien non seulement s’en trouver fausse mais de plus se révéler être l’inverse exact de la réalité de l’enchaînement pathologique quasi-universellement reconnu du cerveau vers les organes. Il va devenir intéressant de scruter les influx perceptibles sur le nerf vagal s’il est est : les irm dans l’estomac, ça va y aller...

Je partage l’avis de l’auteur sur ce qui m’est à moi aussi apparu comme une révolution de la façon de penser notre corps et qui va certainement entraîner une nouvelle façon de « penser » les thérapies à la fois neurologiques et gastriques... Et vu le choc, disons... déstabilisant ? de cette découverte au regard de nos certitudes médicales et de leurs très académiques classifications, il n’y a plus très loin à penser que ce cerveau « décentralisé » ne soit pas le seul que notre organisme recèle... Combien de cerveaux dans l’architecture des réseaux intra-connectés de notre corps ?

De plus en plus loin dans le grand, de plus en plus loin dans le petit...

Au moment où l’on vient de découvrir l’existence plus que probable d’exo-planètes, jumelles de notre Terre et où la vie serait tout à fait imaginable, un peu partout (un peu loin il est vrai) dans l’univers, force est de constater qu’on a pas fini de repousser les limites des infinis, ce qui est un oxymore, car ces derniers n’ont par définition pas de limites, mais là, apparemment, j’ai atteint les miennes.

Bravo et merci à l’auteur.


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