Bonjour Asterix,
Ceux qui me suivent sur cette antenne savent que je suis athée.
Cela ne veut pas dire que je ne m’intéresse pas à regarder ce qui se passe de l’autre côté de la barrière.
J’ai été voir qui était
l’auteur avec son à propos. Ayant été dans ce milieu du numérique, je sais ce qu’il comporte et cette envie commune que nous avons d’aller derrière les rideaux avec des données de départ pour de découvrir ce qui a été prévu à l’achèvement du programme avec un cahier des charges bien défini.
Les religions, je les ai étudié de multiples fois. Du temps des caricatures de Mahomet, cela m’a même obligé de postposé la parution du reste de mon étudedes religions, écrite sous la forme d’un triptyque.
Mon dernier billet paru à Noel n’en a été qu’un nouvel aspect. C’est dire que je ne fais pas beaucoup de différences dans les moyens pour arriver au but final : « assujettir les hommes ». Tout est bon pour y parvenir. Culpabiliser quand c’est nécessaire, tuer quand elles n’arrivent pas au bout de leur peine. La « question de dieu » une vieille connaissance dans le domaine de l’absolutisme moyenâgeux.
Quand on voit se qui se passe en Egypte actuellement, on peut dire que c’est le revers de la médaille. On agit dans une sorte de retour de flammes.
L’Egypte que j’ai aimé, est aujourd’hui, inaccessible, trop dangereuse entre les ultras et les substrats.
Les guerriers de l’obscurantisme se retranchent toujours derrière de beaux discours à la recherche d’une tierce personne qui prouvera qu’ils ont raison de le faire.
Allez, un Ave et un Pater, et on n’en parle plus.