On ne devient pas Français simplement en s’apprivoisant du système économique auquel le pays appartient mais aussi et surtout en démontrant l’intérêt que l’on porte au pays en faisant part de ses propres et nouvelles considérations libérées propre à l’étape de l’immigration, pour l’immigré dans son élan de détachement et d’élévation , autrement dit, l’immigré est condamné à vivre selon selon les mêmes règles auxquels régissent tous les individus et seul le détachement de la communauté, de la religion et de tous les affects débilitants lui permettront de peut-être un jour, de ne pas sacrifier son hérédité et donc de s’en sortir, définitivement. Nous avons un grand passé scientifique en occident, une philosophie libérée, une grande connaissance actuelle des choses et de l’humain alors pourquoi , aujourd’hui, on se plait à conserver et dans l’immigration et son hérédité le caractère qui de par l’environnement et les moyens mis à disposition ne permettront pas à l’individu et à son hérédité de se détacher et de s’élever dans notre culture, il y a trois réponses à cela ;
1) La première est que les idées qui proviennent de l’hérédité sont celles qui durent le plus longtemps chez l’individu.
2) L’économie et sa décompression lancée inconsciemment depuis déjà de nombreuses années qui sont encore loin de permettre à l’occident une auto-gestion de ses ressources, humaines et productives.
3) et bien sur :p l’éducation nationale, notre système qui oriente dès le plus jeune age les ambitions est le principal fléau de ce pays...