« tout votre raisonnement entre guillemet est de vouloir à tout prix contredire l’auteur et non pas de chercher la vérité ,et pour cela vous n’avez pas essayé d’abord de comprendre ce que veut dire l’auteur , »
Comme disait Blaise Pascal : « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà »...Celui qui cherche la Vérité la cherchera longtemps. Le fait d’avoir de problèmes de logique et de rigueur intellectuelle n’aide pas à découvrir la vérité. Ainsi, comment découvrir la Vérité si notre vision du monde comporte des erreurs ?
Je n’ai pas parlé du fond du texte car la forme comporte déjà des erreurs, signes d’un esprit confus et peu rigoureux. Or, comment bien chercher et bien découvrir la Vérité si notre esprit garde encore des imprécisions ? Il est possible que la Vérité nous passe sous le nom car nous aurons passé notre temps à rechercher des chimères.
« en n’utilisant pas le sens des mots ou des expressions que l’auteur a en tête mais le sens que vous voulez bien y mettre dans le but unique de contredire de manière formelle l’auteur et donc en même temps d’infirmer ses propos et ses idées à tout prix »
Je pense que si la forme d’un texte est entachée d’erreurs, le texte porte dans ses idées des erreurs.
Pour le sens des mots, je vais vous raconter une petite histoire : il était une fois un candidat à l’élection présidentielle de la République française. Grand ami des banquiers, des multinationales et des parasites, il était encarté au Parti Socialiste, parti qui est censé défendre le peuple. Alors, pour être élu, il dit aux militants de ce parti : « Mon ennemi c’est la finance », et il fut élu président de la République le 6 mai 2012. Le résultat est qu’il vint voir à la City de Londres ses chers amis de Londres peu après les élections et il ne fit rien pour limiter l’action des spéculateurs. François Hollande avait en tête les mots « Mon ami c’est la finance ». Malheureusement, les citoyens n’étaient pas dans sa tête, et il put nous flouer.
Voici la morale de l’histoire : pour être compris de tout le monde, il est nécessaire d’avoir une langage clair et précis.
Vous, l’auteur et le président de la République avez le même défaut : vous mentez. La seule différence est que le président de la République provoque bien plus de problèmes.
Si je vous dis blanc et que je pense noir, comment vous y retrouverez-vous ?
« et non pas plaquer ou exiger ses propres définitions ou sens de mots et expression sans aussi tenir compte du contexte . »
Mes définitions sont celles du dictionnaire Larousse en ligne, je ne les imagine pas.
Peu importe le contexte, un chat est un chat, la couleur bleue est bleue, la glace est froide. Ou alors vous pensez que Poutine comme Hitler ? Que la Russie et la Syrie sont des dictatures ? Que la quenelle est un salut nazi inversé qui sodomise les victimes de la Shoah ?
Effectivement, dans ce cas, on peut changer le sens des mots, cela n’a aucune importance, n’est-ce pas ?
’je pense avoir montré dans mes commentaires précédents comme quoi vous avez commis l’erreur d e plaquer votre propre sens d’une expression en l’occurrence « pratique homosexuelle » différent de celui de l’auteur .’
Reprenons le texte :
« Ensuite, on peut ajouter le fait que l’homosexualité ne puisse en réalité même pas être caractérisée de « contre nature ». En effet, il s’agit en fait d’une pratique tout à fait courante dans le monde animal et d’ailleurs présente chez 450 espèces d’animaux dont le dauphin. A contrario, l’homophobie, elle, n’est présente que chez une seule espèce : l’homme. Enfin, qui du dauphin ou de l’homophobe est le plus « contre nature » ? »
Et plus loin « Que font les bêtes quand elles s’accouplent ? Elles se reproduisent. Ce sont les bêtes et non les humains qui s’accouplent pour se reproduire. »
Donc si je suis ma logique, j’en conclus que l’auteur affirme que l’homosexualité est une pratique naturelle, car les bêtes la pratiquent aussi et que les humains sont des bêtes, mais que les bêtes et les humains sont différents, que l’être humain est supérieur au reste des animaux en ce domaine. Donc l’être humain est à la fois égal et supérieur aux bêtes.
Si je continue et que je suis la définition du dictionnaire, j’en conclus que les bêtes et les humains s’accouplent pour se reproduire ; si j’applique cela à l’homosexualité, j’apprends que cela concerne des homosexuels uniquement. Comme les bêtes se reproduisent par instinct, il ne peut donc pas y avoir d’animaux homosexuels qui se reproduisent.
C’est un problème pour ceux qui veulent voir en l’homosexualité une chose naturelle, et que si on applique les critères d’homosexualité à un animal, il ne peut pas se reproduire naturellement car un mâle homosexuel ne serait pas attiré par une femelle et ne pourrait donc pas se reproduire.
Si je suis votre logique, des animaux ont des natures homosexuelles strictes et d’autres n’en ont pas, donc ceux qui ont une nature strictement homosexuelle ne se reproduisent pas, et les autres qui n’ont pas une nature homosexuelle non stricte se reproduisent naturellement. Donc les animaux avec des natures homosexuelles peu strictes ne sont pas tout à fait homosexuels. Donc ils ne le sont pas.
Donc parler de nature homosexuelle stricte ne veut rien dire.
Maintenant, passons au sens des mots. Vous dites qu’il faut suivre ce que dit l’auteur. Très bien.
Voyons ensuite ce vous dites.
« pratique homosexuelle » ;
« de ces animaux ,que la seule interprétation possible pour la pratique homosexuelles de ces 450 espèces animales est une pratique BISEXUELLE,de sorte qu’il n’ y’a pas contradiction entre dire à la fois que ces animaux s’accouplent pour se reproduire et qu’ils ont une pratique homosexuelle » ;
Donc la pratique homosexuelle de ces espèces est une pratique bisexuelle. Donc ils ne sont pas homosexuels.
« il a dit textuellement que les »animaux ont des PRATIQUES homosexuelles chez 450 espèces« ;
Vérifions, L’auteur dit : »Ensuite, on peut ajouter le fait que l’homosexualité ne puisse en réalité même pas être caractérisée de « contre nature ». En effet, il s’agit en fait d’une pratique tout à fait courante dans le monde animal et d’ailleurs présente chez 450 espèces d’animaux dont le dauphin.«
Et j’ai dit : »Logiquement, si les bêtes s’accouplent pour se reproduire elles ne peuvent pas avoir de pratiques homosexuelles, mais elles en ont quand même selon vos propres dires.«
Je crois que vous avez un don pour lire dans les pensées des gens et, connecté psychiquement à l’esprit de l’auteur, vous savez tellement ce que veut dire l’auteur que vous n’avez pas besoin du texte pour comprendre sa pensée.
»j’ai employé le mot bisexuel qui n’ a pas été employé par l’auteur explicitement « ;
Je résume : l’auteur traite de l’homosexualité et de l’homophobie dans son article. Il ne parle pas de la bisexualité mais implicitement, il en parle. Vous savez donc lire dans les pensées de l’auteur. C’est pour cela que vous savez ce que pensait l’auteur.
»en effet personne ne croit ou pensé ,ni l’auteur ni m^me pas vous ,que ces 450 espèces animales qui pratiquent l’homosexualité sont de nature homosexuelle stricte « ;
Donc, grâce à vos dons psychiques, vous savez que je pense que la »pratique homosexuelle« est de nature homosexuelle stricte. Bizarre, je pensais que l’on ne parlait que d’une nature homosexuelle, pas d’une nature homosexuelle stricte ou pas stricte.
»en n’utilisant pas le sens des mots ou des expressions que l’auteur a en tête".
Mes soupçons se confirment : vous êtes un télépathe et vous pouvez bien lire dans l’esprit des gens, dans celui de l’auteur en particulier. C’est pour cela que vous savez que j’ai tort et que vous avez raison.
J’ignorais qu’un tel existait, vous êtes probablement la prochaine évolution dans l’espèce humaine. A quand une personne qui communique avec les ordinateurs ?
Ainsi, quand je vous dis que vous manquez de logique et de rigueur intellectuelle, et que vous manquez de vocabulaire, vous savez que le sens que j’y mets n’est pas la définition du dictionnaire, mais bien un autre sens. En fait, je vous fais un compliment et vous n’aurez plus qu’à trouver avec votre don surpuissant ce que je veux dire, d’accord ?
Je suis certain que vous trouverez, car vous avez raison et j’ai tort.