eAlinéa,
’’il y a longtemps qu’il s’est remboursé ses frais et qu’il s’est payé son génie rare sur le dos de ses travailleurs’’
Admettons, j’entends cette idée mais pardonnez moi elle ne serait pas farfelue si elle ne se tenait que dans ce domaine, mais empiriquement et avec un minimim d’honêteté intellectuelle, quel argument m’empêcherait alors de penser que l’ensemble des locataires deviennent à terme propriétaire de son immeuble, ne ce sont pas eux qui ont créé les richesses permettant au propriétaire de payer un grande partie des traites ?
Je suis désolée mais cette idée, même si l’on peut y percevoir une notion respectable sent le communisme à plein nez !
Honnêtement Alinéa, je pense que vous avez des économies, en fin je l’espère, et bien seriez vous disposée à les investir dans la création d’une entreprise qui deviendra à terme propriété de vos salariés ? Car la question est là, pas ailleurs, le reste est du blabla, de la considération de bisounours. . Et je ne réagis pas en fonction de moi, je réagis en fonction de l’esprit humain, de la réalité , celle qui régit nos vies au jour le jour.
Et faites un sondage à grande échelle, vous verrez que j’ai raison.
Je pense que dans nos sociétés, nous n’évoluons pas suffisamment avec cette notion ’’vivre avec’’, tenir compte de l’environnement. Au pays bas, leur proximité d’un envahissement par les eaux les a obligé depuis longtemps à réagir de la sorte. Le problème étant plus fort qu’eux la nouvelle question a alors été, comment vivre avec ? Et ils l’ont adoptée dans beaucoup d’autres domaine, plutôt que d’imaginer et espérer des dispositions ou solutions impossibles, relevant de la science fiction...
Et puis tout cela relève d’une vision, moi j’en ai absolument rien à faire que des gens aient des salaires gigantesques, et les autres qui les jalousent ou les critiquent, sont dans ce principe d’objectif à vouloir ’’réussir dans la vi’’, moi je suis dans celui de ’’réussir ma vie’’ ce qui n’est pas tout à fait la même chose.
Tout cela pour dire que je plains tout ces gens, car ils sont pour moi restés au stade ’’digestif’’, et je les plains, ils doivent être bien malhaureux.
Et si d’un autre côté c’est pour faire une comparaison à ceux qui ont à peine de quoi se nourrir, (ce qui est cette fois légitime), je dirai que là, cela devient un problème politique et plus le problème du type qui gagne des sommes mirobolantes.
Je suis ni de gauche ni de droite, ni patron ni salarié mais tous ces gens me font rire avec leur idéologies à deux balles, orientées systématiquement en fonction de leur condition sociale, jalousant systématiquement ceux qui ont plus, c’est triste