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Commentaire de Alain Favaletto

sur Martin Schulz, « le bon Allemand » candidat à la présidence de la Commission européenne. Par Yvonne Bollmann


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Alain Favaletto Alain Favaletto 18 mai 2014 17:09

Grüße aus Deutschland : oui, le souci de Schulz a la Commission, c´est la certitude d´un double commandement de nos amis allemands sur l´Europe : Mme Merkel et lui. Ils tiennent deja les finances de la BCE, ont imposé un € conforme a leurs exclusifs interets, exterminent grace a cela les restes d´industrie concurrente sur le continent (merci a nos politiques francais entre autres d´avoir ete si vigilants ! ). Le SPD de Schulz est un parti guere different de la CDU/CSU dont il partage notamment et spontanement les vues ethno-supremacistes : « ce projet est allemand, il est donc intrinsequement le meilleur, faisons-le passer en douceur ». Ses vues de reunion, sous des motifs culturels, des Allemands des Sudetes sont assez nauseabondes, comme certains disent en France et rappellent de sombres periodes.


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