Et puis pour aller dans le sens de Juluch : laissons donc le nationalisme aux nationalistes.
Nous, prolétaires révolutionnaires qui souhaitons une union toujours plus large des travailleurs, ne pouvons que nous réjouir de la création de ce nouveau marché USA/Europe qui permettra d’unir le prolétariat Européen au prolétariat Américain.
Le Capitalisme creuse sa propre tombe. Sa pelle se nomme « libéralisme ».