Ce que je sais parfaitement est que le carbocentrisme jouit du statut d’une religion d’état, INTERGOUVERNEMENTALE. Religion d’état, d’abord dans les états de Margaret Thatcher. Ce fut elle qui l’inventa, dans les années octante, qui finança généreusement tous ceux qui étaient prêts à alimenter cette propagande, à lui donner des airs « scientifiques ». Elle en avait besoin pour sa politique intérieure, comme couverture morale pour fermer des puits de mine et développer l’électronucléaire.
Ultérieurement, l’Iron Lady se ravisa que la machinerie politico-médiatique qu’elle avait créée ne racontait que de grosses conneries. Mais il était trop tard : des milliers de complices étaient compromis jusqu’aux sourcils, lui devaient des carrières totalement anormales, et l’oligarchie WWF-Bilderberg qui détient directement la presse et indirectement les gouvernements, avait jugé que la religion carbocentrique servait ses intérêts, à l’échelle planétaire.
Voir l’aveu de Marion Tafani : pour avoir des sous, « De nos jours il est difficile de passer à coté de la thématique des changements climatiques ». Et les fidèles de la guerre de religion vont immédiatement propagander que « les marmottes alpines souffrent du réchauffement climatique », au moment où elles souffrent de l’enneigment exceptionnel de l’hiver et du printemps 2013, autrement dit, plutôt d’un refroidissement...
Tel est l’état de la corruption de la communauté scientifique par les politiques qui attribuent ou coupent les crédits de la recherche.