"le peuple français confirme son rejet de cette Europe anti-démocratique,
dominée par les multinationales, axée sur la concurrence entre les
peuples, omnibulée par les parts de marché au grand mépris des droits
humains"
Certes. Et le PRCF ne cesse de dire qu’il n’est de politique progressiste capable de mobiliser la classe des travailleurs que sur la base de la rupture avec l’UE, de la sortie de l’UE et de l’euro. Cette UE et cet euro que les communistes et les progressistes ont toujours combattu : non à la CED, non à l’acte unique, non à maastricht, non au TCE...
Au passage notons que le FN ne peut en dire autant lui qui avec le père Le Pen se définissait comme européen (dans la droite ligne de Vichy) et qui n’a pas voté non à l’acte unique.
mais le FdG persevère dans la voie sans issue, la voie de l’échec, celle de continuer à défendre la réforme de l’UE, l’europe sociale, considérant comme Pierre Laurent que l’UE est une bonne chose.
Cette voie, par intéret (pour conserver les financemenst du PGE, pour continuer à s’associer à un PS qui pourtant est un boulet) préférant la lutte des places à la lutte de classes ou par idéalisme confondant l’idée d’une europe internationnaliste des travailleurs avec l’UE impérialiste, nationaliste de l’oligarchie capitalsite, est rejetée et sanctionné par les travailleurs, qui massivement ont refusé d’accorder leur suffrage au FDG
Il est urgent qu’à gauche, chez les communistes, saute enfin ce tabou instillé par Herzog (aujourd’hui grassement stipendiée par la Commission) et Hue : oui être communiste, être progressiste, être républicain, être internationnaliste c’est sortir de l’UE sortir de l’euro et sortir de l’OTAN mais par la porte de gauche !
Camarade du FdG, ouvont ce débat, il y a urgence. Car la défense de l’illusion de l’UE sociale que vous défendez depuis maintenant plus de 15 ans ouvre un boulevard au FN et désarme les travailleurs face à l’offensive massive de l’oligarchie capitaliste.