Je constate que les chiffres ne correspondent pas « AU TSUNAMI » que nous annoncent à chaque fois les médias, c’est tout.
* Aux élections Présidentielles de 2002, JM Le Pen a fait 16,86%, et Mégret 2,34, soit 19,20%
* 10 ans plus tard, Marine en 2012 a fait 17,90%, soit un RECUL de 1,30% pour l’extrême droite. Un recul, c’est un tsunami ?
* Aux Municipales, au bout de 42 ans d’existence, le FN se présente péniblement dans 6% des villes de plus de 1000 habitants, pas dans la France entière !
Il obtient 0,7% de conseillers municipaux dans 0,03% des 36 000 communes.
Au bout de 42 ans, c’est un exploit ?
* En 2012, Marine le Pen avait 6 421 808 électeurs.
En 2014, le FN obtient l’adhésion de 4, 7 millions de voix, ce qui corresponde à 10% des inscrits. C’est la victoire, mais pas une progression.
Pour l’ UPR, passer d’une centaine d’électeurs à la partielle du Lot & Garonne, à 77 136 voix, ce n’est pas la victoire, mais c’est une nette progression.
L’UPR a donc obtenu plus de voix que le NPA, 75 034 électeurs, alors qu’en 2009, le NPA avait obtenu 143 967 voix. Cela s’appelle une régression.